Sefer Hamitsvot
Notons que bon nombre de ces lois ne sont pas la halakha, c'est-à-dire la pratique observée dans les communautés juives. Elles ne sauraient donc en aucun cas être prises comme référence. Veuillez noter également que cette version est un premier essai qui fera l'objet de corrections ultérieures.
15 Tamouz 5784 / 07.21.2024
Cours N° 117
Mitsva positive N° 115 :
Il s'agit du commandement qui nous a été enjoint par la loi relative à l'estimation d'une bête impure, ainsi qu'il est dit: "...on amènera l'animal en présence du pontife, celui-ci l'estimera".
Les dispositions relatives à ce commandement sont expliquées dans plusieurs passages du Traité Temoura et du Traité Me'ila.
Mitsva positive N° 116 :
Il s'agit du commandement qui nous a été enjoint au sujet de l'estimation des maisons, ainsi qu'il est dit: "Si un homme a consacré sa maison comme chose sainte à l'Eternel, le pontife l'estimera".
Les dispositions relatives à ce commandement ont été expliquées dans le Traité 'Arakhin.
Mitsva positive N° 117 :
Il s'agit du commandement qui nous a été enjoint au sujet de l'estimation des champs, ainsi qu'il est dit: "Si un homme a consacré à l'Eternel une partie de sa terre patrimoniale..." et: "Si ce qu'il a consacré à l'Eternel est une terre achetée par lui qui ne fasse point partie de son bien patrimonial..." Si le champ lui appartient, la Torah ordonne que "l'estimation s'en fera d'après la contenance en grains" et, s'il s'agit d'un champ acheté, que le pontife supputera, à son égard, la portion du taux à payer".
Les dispositions relatives à ce commandement sont entièrement expliquées dans le Traité 'Arakhin.
Qu'on ne croit pas que, parce que ces quatre commandements (concernant l'estimation) ont tant de points communs, qu'ils constituent un seul commandement. Au contraire, il s'agit de quatre commandements, chacun avec ses dispositions propres, bien que le terme "estimation" leur soit commun. C'est pourquoi nous ne comptons pas toutes les estimations comme un seul commandement, de même que nous ne comptons pas toutes les sortes de sacrifices comme un seul commandement. Cela se comprend dès qu'on y réfléchit.
Il s'agit du commandement qui nous a été enjoint par la loi relative à l'estimation d'une bête impure, ainsi qu'il est dit: "...on amènera l'animal en présence du pontife, celui-ci l'estimera".
Les dispositions relatives à ce commandement sont expliquées dans plusieurs passages du Traité Temoura et du Traité Me'ila.
Mitsva positive N° 116 :
Il s'agit du commandement qui nous a été enjoint au sujet de l'estimation des maisons, ainsi qu'il est dit: "Si un homme a consacré sa maison comme chose sainte à l'Eternel, le pontife l'estimera".
Les dispositions relatives à ce commandement ont été expliquées dans le Traité 'Arakhin.
Mitsva positive N° 117 :
Il s'agit du commandement qui nous a été enjoint au sujet de l'estimation des champs, ainsi qu'il est dit: "Si un homme a consacré à l'Eternel une partie de sa terre patrimoniale..." et: "Si ce qu'il a consacré à l'Eternel est une terre achetée par lui qui ne fasse point partie de son bien patrimonial..." Si le champ lui appartient, la Torah ordonne que "l'estimation s'en fera d'après la contenance en grains" et, s'il s'agit d'un champ acheté, que le pontife supputera, à son égard, la portion du taux à payer".
Les dispositions relatives à ce commandement sont entièrement expliquées dans le Traité 'Arakhin.
Qu'on ne croit pas que, parce que ces quatre commandements (concernant l'estimation) ont tant de points communs, qu'ils constituent un seul commandement. Au contraire, il s'agit de quatre commandements, chacun avec ses dispositions propres, bien que le terme "estimation" leur soit commun. C'est pourquoi nous ne comptons pas toutes les estimations comme un seul commandement, de même que nous ne comptons pas toutes les sortes de sacrifices comme un seul commandement. Cela se comprend dès qu'on y réfléchit.