Rambam 1 Chapitre
Notons que bon nombre de ces lois ne sont pas la halakha, c'est-à-dire la pratique observée dans les communautés juives. Elles ne sauraient donc en aucun cas être prises comme référence. Veuillez noter également que cette version est un premier essai qui fera l'objet de corrections ultérieures.
8 Tamouz 5784 / 07.14.2024
Lois relatives aux ustensiles du Temple
Lois relatives aux ustensiles du Temple
Elles comprennent quatorze commandements: six commandements positifs et huit commandements négatifs, dont voici le détail :
a) confectionner l’huile d’onction b) ne pas confectionner de semblable c) s’enduire le corps avec d) ne pas confectionner d’encens semblable e) ne rien brûler sur l’autel d’or hormis l’encens f) porter l’arche sur les épaules g) que les barres n’en soient pas retirées h) que les lévites servent dans le Temple i) que l’un ne fasse pas la tâche de son ami dans le Temple j) que le cohen se sanctifie pour le service k) que toutes les gardes aient le même statut durant les fêtes de pèlerinage l) revêtir les vêtements de prêtrise durant le service m) que la robe [du cohen] ne se déchire pas n) que le pectoral ne soit pas séparé du éphod.
et l'explication de tous ces commandements se trouve dans les chapitres que voici :
Premier Chapitre
1. Il est un commandement positif de confectionner l’huile d’onction pour qu’elle soit prête pour tous les cas où l’onction est nécessaire, ainsi qu’il est dit : « tu en composeras une huile pour l’onction sainte ».
2. Voici ce que fit Moïse notre maître dans le désert : il prit du musc, du cinnamone et du kida, de chacun des trois cinq cent sicles saints, deux cent cinquante joncs aromatiques et c’est ce qui est dit dans la Thora : « le cinnamone odorant, sa moitié (soit) deux cent cinquante », parce qu’on le mesure en deux fois, deux cent cinquante à chaque fois et l’on écrase chacun séparément ; il mélangea le tout et il le trempa dans de l’eau limpide et douce jusqu’à ce que tout l’arôme soit exprimé dans l’eau ; il versa dans l’eau un hine d’huile d’olive, c'est-à-dire douze log, chaque log quatre révi’it. Il fit tout bouillir jusqu’à ce qu’il n’y ait plus d’eau et qu’il ne reste que l’huile. Et il versa l’huile dans un récipient pour toutes les générations.
3. Le musc est le sang contenu dans l’animal sauvage de l’Inde connu de tous avec lequel l’on se parfume partout. Le cinnamone est un bois qui provient des îles de l’Inde, qui a une bonne odeur et avec lequel les hommes se parfument. Le kida est le kocht (sausura). Et les joncs aromatiques sont les joncs fins comme de la paille rouge qui proviennent des îles d’Inde et qui ont une bonne odeur ; ils font partie des espèces de parfum que donnent les médecins qui soignent avec des remèdes [à base de plantes].
4. Celui qui confectionne une huile d’onction semblable à celle-ci, dans les mêmes proportions, sans ajouter ni diminuer sciemment est passible de retranchement. [S’il le fait] par inadvertance, il doit apporter une offrande expiatoire fixe, ainsi qu’il est dit : « quiconque ferait une composition semblable […] (sera retranché d’entre son peuple) ». Et ce [il est passible de retranchement], s’il l’a fait pour s’enduire avec. Par contre, s’il l’a fait pour apprendre ou pour la donner à d’autres personnes, il est exempt.
5. Celui qui s’enduit avec de l’huile d’onction volontairement est passible de retranchement. [S’il le fait] par inadvertance, il amène une offrande expiatoire fixe, comme il est dit : « et qui en mettra sur un étranger [au sacerdoce] sera retranché d’entre son peuple ». Et on coupable que si l’on s’enduit avec l’huile d’onction qu’a confectionnée Moïse, ainsi qu’il est dit : « [qui] en [mettra] », [c’est-à-dire qu’il est question] de celle [l’huile] dont il est dit : « une huile d’onction de sainteté, ceci sera pour moi ». Et on n’a jamais confectionné d’autre huile que celle qu’a confectionnée Moïse.
6. [La loi précédemment citée concerne] celui qui s’enduit lui-même comme celui qui enduit d’autres personnes, ainsi qu’il est dit : « et qui en mettra sur un étranger ». Celui qui enduit des ustensiles, des animaux ou des non juifs qui leur sont semblables, ou celui qui l’utilise [l’huile] pour enduire des défunts est exempt, ainsi qu’il est dit : « sur une chair d’homme elle ne sera pas répandue ».
7. Pour toutes les générations [qui suivent la génération de Moïse], on n’enduit que les grands prêtres, [le prêtre] enduit pour la guerre, les rois de la maison de David seulement, même un cohen fils de cohen, on les enduit [avec l’huile d’onction], comme il est dit : « et le prêtre oint à sa place de parmi ses fils, etc. »
8. Dans le second Temple où il n’y avait pas d’huile d’onction, le grand prêtre revêtait seulement plus d’habits [qu’un simple cohen], c'est-à-dire qu’il revêtait les vêtements du grand prêtre.
9. Comment oint-on le cohen ? On lui verse de l’huile sur la tête et on l’enduit sur les yeux sous forme de Ki grec comme-ci : X, comme il est dit : « il versa de l’huile sur la tête d’Aaron, il l’enduisit pour le consacrer ». Et les rois de la maison de David, on les oint comme une couronne sur la tête. On ne l’oint pas sur d’autres parties [du corps] et ne doit pas mettre trop d’huile.
10. Celui qui verse de l’huile d’onction sur un roi ou un grand prêtre qui ont déjà été enduits est exempt, comme il est dit : « et qui en mettra sur un étranger [au sacerdoce] », [cette loi ne concerne que les étrangers au sacerdoce] et ceux-ci ne sont pas étrangers. Par contre, celui qui l’utilise [l’huile] pour enduire même un roi ou un grand prêtre est coupable, comme il est dit : « sur une chair d’homme elle ne sera pas répandue », ceci concerne tout homme. Et un grand prêtre qui prend de l’huile d’onction de sa tête et s’enduit le ventre est passible de retranchement, à condition qu’il s’enduise avec ce le [une quantité d’huile correspondant au] volume d’une olive.
11. On n’enduit un roi que sur une source et on n’enduit pas un roi fils de roi, car la royauté est un héritage à jamais pour les rois, comme il est dit : « lui et ses enfants au sein d’Israël ». Et s’il y a un désaccord [quant à la personnalité du roi], on l’oint [le roi] pour enlever le désaccord et informer tout le monde qu’il est lui seul le roi, comme ils [les juifs à l’époque] ont oint [le roi] Salomon à cause du désaccord avec Adonias et [ils ont oint] Yoas à cause d’Athalie et Joachaz à cause de Joïakim son frère. Et quand Elisée a oint Jéhu, il ne l’a pas fait avec l’huile d’onction, mais avec de l’huile de baume, et ceci est une tradition transmise aux sages.
12. Tous les ustensiles que Moïse a fait dans le désert n’ont été sanctifiés qu’en étant enduit avec l’huile d’onction, ainsi qu’il est dit : « il les oignit et les sanctifia ». Et ceci n’est pas observé pour toutes les générations, mais tous les ustensiles, dès qu’on les a utilisés dans le Temple pour le service, ont été sanctifiés, ainsi qu’il est dit : « dont ils se serviront dans le Sanctuaire » ; c’est par le service qu’ils deviennent sanctifiés.
13. Les cuillers et les plats avec lesquels on reçoit les oblations, et de même, les bols [coupes sans fond plat] avec lesquels on reçoit le sang et les autres ustensiles sacerdotaux étaient tous en argent et en or, et il est permis de les faire avec d’autres sortes de métaux, comme nous l’avons expliqué. Et tous deviennent sanctifiés par le service. Et s’ils se brisent, on les fait fondre et en fait un autre ustensile, et leur sainteté ne leur est jamais retirée.
14. Les ustensiles sacerdotaux qui ont été troués ou fendus, on ne les rebouche pas, mais on les fait fondre et on en fait de nouveaux.
15. Un couteau qui se sépare du manche ou qui présente une défectuosité, on ne le reprend pas [pour le service] et on ne l’aiguise pas, mais on l’enterre à côté de l’arche entre le Kodech et le Oulam au Sud et on en fait d’autres parce que la pauvreté n’a pas sa place dans un lieu de richesse.
16. Il y avait deux mesures de solides dans le Temple : le issarone et le demi issarone ; le issarone pour les oblations et le demi issarone pour partager l’oblation quotidienne du grand prêtre.
17. Il y avait sept mesures de liquides : le hine, le demi hine, le tiers de hine, le quart de hine, le log, le demi log, le quart [de log]. Et pourquoi y avait-il le demi hine le tiers de hine et le quart de hine ? Pour mesurer les libations des [accompagnant les] sacrifices. Le log pour mesurer l’huile des oblations, et le demi log pour mesurer l’huile pour chaque lampe parmi les lampes du candélabre, et le quart [de log] pour partager l’huile pour les ‘havitine .
18. Il n’y a rien à mesurer avec le hine. Pourquoi était-il présent ? Parce qu’il était dans le Temple à l’époque de Moïse pour mesurer l’huile pour l’huile d’onction. Et avec le demi log qui était dans le Temple, on mesurait l’eau pour les eaux de la sota et l’huile pour les sacrifices de reconnaissance. Et avec le quart [de log], on mesurait l’huile pour le pain du nazir et l’eau pour la purification du lépreux. Ce n’est pas par ces actes qu’elles [ces mesures] ont été sanctifiées, mais par les travaux dans le Temple précédemment évoqués.
19. Toutes ces mesures sont saintes et font partie des ustensiles sacerdotaux, mais les mesures de liquides ont été enduites à l’intérieur et à l’extérieur, et les mesures de solides ont été seulement enduites à l’intérieur. C’est pourquoi, ce qui déborde des mesures de liquides est saint et ce qui déborde des mesures de solides est profane [car la paroi extérieure n’est pas sainte].
Elles comprennent quatorze commandements: six commandements positifs et huit commandements négatifs, dont voici le détail :
a) confectionner l’huile d’onction b) ne pas confectionner de semblable c) s’enduire le corps avec d) ne pas confectionner d’encens semblable e) ne rien brûler sur l’autel d’or hormis l’encens f) porter l’arche sur les épaules g) que les barres n’en soient pas retirées h) que les lévites servent dans le Temple i) que l’un ne fasse pas la tâche de son ami dans le Temple j) que le cohen se sanctifie pour le service k) que toutes les gardes aient le même statut durant les fêtes de pèlerinage l) revêtir les vêtements de prêtrise durant le service m) que la robe [du cohen] ne se déchire pas n) que le pectoral ne soit pas séparé du éphod.
et l'explication de tous ces commandements se trouve dans les chapitres que voici :
Premier Chapitre
1. Il est un commandement positif de confectionner l’huile d’onction pour qu’elle soit prête pour tous les cas où l’onction est nécessaire, ainsi qu’il est dit : « tu en composeras une huile pour l’onction sainte ».
2. Voici ce que fit Moïse notre maître dans le désert : il prit du musc, du cinnamone et du kida, de chacun des trois cinq cent sicles saints, deux cent cinquante joncs aromatiques et c’est ce qui est dit dans la Thora : « le cinnamone odorant, sa moitié (soit) deux cent cinquante », parce qu’on le mesure en deux fois, deux cent cinquante à chaque fois et l’on écrase chacun séparément ; il mélangea le tout et il le trempa dans de l’eau limpide et douce jusqu’à ce que tout l’arôme soit exprimé dans l’eau ; il versa dans l’eau un hine d’huile d’olive, c'est-à-dire douze log, chaque log quatre révi’it. Il fit tout bouillir jusqu’à ce qu’il n’y ait plus d’eau et qu’il ne reste que l’huile. Et il versa l’huile dans un récipient pour toutes les générations.
3. Le musc est le sang contenu dans l’animal sauvage de l’Inde connu de tous avec lequel l’on se parfume partout. Le cinnamone est un bois qui provient des îles de l’Inde, qui a une bonne odeur et avec lequel les hommes se parfument. Le kida est le kocht (sausura). Et les joncs aromatiques sont les joncs fins comme de la paille rouge qui proviennent des îles d’Inde et qui ont une bonne odeur ; ils font partie des espèces de parfum que donnent les médecins qui soignent avec des remèdes [à base de plantes].
4. Celui qui confectionne une huile d’onction semblable à celle-ci, dans les mêmes proportions, sans ajouter ni diminuer sciemment est passible de retranchement. [S’il le fait] par inadvertance, il doit apporter une offrande expiatoire fixe, ainsi qu’il est dit : « quiconque ferait une composition semblable […] (sera retranché d’entre son peuple) ». Et ce [il est passible de retranchement], s’il l’a fait pour s’enduire avec. Par contre, s’il l’a fait pour apprendre ou pour la donner à d’autres personnes, il est exempt.
5. Celui qui s’enduit avec de l’huile d’onction volontairement est passible de retranchement. [S’il le fait] par inadvertance, il amène une offrande expiatoire fixe, comme il est dit : « et qui en mettra sur un étranger [au sacerdoce] sera retranché d’entre son peuple ». Et on coupable que si l’on s’enduit avec l’huile d’onction qu’a confectionnée Moïse, ainsi qu’il est dit : « [qui] en [mettra] », [c’est-à-dire qu’il est question] de celle [l’huile] dont il est dit : « une huile d’onction de sainteté, ceci sera pour moi ». Et on n’a jamais confectionné d’autre huile que celle qu’a confectionnée Moïse.
6. [La loi précédemment citée concerne] celui qui s’enduit lui-même comme celui qui enduit d’autres personnes, ainsi qu’il est dit : « et qui en mettra sur un étranger ». Celui qui enduit des ustensiles, des animaux ou des non juifs qui leur sont semblables, ou celui qui l’utilise [l’huile] pour enduire des défunts est exempt, ainsi qu’il est dit : « sur une chair d’homme elle ne sera pas répandue ».
7. Pour toutes les générations [qui suivent la génération de Moïse], on n’enduit que les grands prêtres, [le prêtre] enduit pour la guerre, les rois de la maison de David seulement, même un cohen fils de cohen, on les enduit [avec l’huile d’onction], comme il est dit : « et le prêtre oint à sa place de parmi ses fils, etc. »
8. Dans le second Temple où il n’y avait pas d’huile d’onction, le grand prêtre revêtait seulement plus d’habits [qu’un simple cohen], c'est-à-dire qu’il revêtait les vêtements du grand prêtre.
9. Comment oint-on le cohen ? On lui verse de l’huile sur la tête et on l’enduit sur les yeux sous forme de Ki grec comme-ci : X, comme il est dit : « il versa de l’huile sur la tête d’Aaron, il l’enduisit pour le consacrer ». Et les rois de la maison de David, on les oint comme une couronne sur la tête. On ne l’oint pas sur d’autres parties [du corps] et ne doit pas mettre trop d’huile.
10. Celui qui verse de l’huile d’onction sur un roi ou un grand prêtre qui ont déjà été enduits est exempt, comme il est dit : « et qui en mettra sur un étranger [au sacerdoce] », [cette loi ne concerne que les étrangers au sacerdoce] et ceux-ci ne sont pas étrangers. Par contre, celui qui l’utilise [l’huile] pour enduire même un roi ou un grand prêtre est coupable, comme il est dit : « sur une chair d’homme elle ne sera pas répandue », ceci concerne tout homme. Et un grand prêtre qui prend de l’huile d’onction de sa tête et s’enduit le ventre est passible de retranchement, à condition qu’il s’enduise avec ce le [une quantité d’huile correspondant au] volume d’une olive.
11. On n’enduit un roi que sur une source et on n’enduit pas un roi fils de roi, car la royauté est un héritage à jamais pour les rois, comme il est dit : « lui et ses enfants au sein d’Israël ». Et s’il y a un désaccord [quant à la personnalité du roi], on l’oint [le roi] pour enlever le désaccord et informer tout le monde qu’il est lui seul le roi, comme ils [les juifs à l’époque] ont oint [le roi] Salomon à cause du désaccord avec Adonias et [ils ont oint] Yoas à cause d’Athalie et Joachaz à cause de Joïakim son frère. Et quand Elisée a oint Jéhu, il ne l’a pas fait avec l’huile d’onction, mais avec de l’huile de baume, et ceci est une tradition transmise aux sages.
12. Tous les ustensiles que Moïse a fait dans le désert n’ont été sanctifiés qu’en étant enduit avec l’huile d’onction, ainsi qu’il est dit : « il les oignit et les sanctifia ». Et ceci n’est pas observé pour toutes les générations, mais tous les ustensiles, dès qu’on les a utilisés dans le Temple pour le service, ont été sanctifiés, ainsi qu’il est dit : « dont ils se serviront dans le Sanctuaire » ; c’est par le service qu’ils deviennent sanctifiés.
13. Les cuillers et les plats avec lesquels on reçoit les oblations, et de même, les bols [coupes sans fond plat] avec lesquels on reçoit le sang et les autres ustensiles sacerdotaux étaient tous en argent et en or, et il est permis de les faire avec d’autres sortes de métaux, comme nous l’avons expliqué. Et tous deviennent sanctifiés par le service. Et s’ils se brisent, on les fait fondre et en fait un autre ustensile, et leur sainteté ne leur est jamais retirée.
14. Les ustensiles sacerdotaux qui ont été troués ou fendus, on ne les rebouche pas, mais on les fait fondre et on en fait de nouveaux.
15. Un couteau qui se sépare du manche ou qui présente une défectuosité, on ne le reprend pas [pour le service] et on ne l’aiguise pas, mais on l’enterre à côté de l’arche entre le Kodech et le Oulam au Sud et on en fait d’autres parce que la pauvreté n’a pas sa place dans un lieu de richesse.
16. Il y avait deux mesures de solides dans le Temple : le issarone et le demi issarone ; le issarone pour les oblations et le demi issarone pour partager l’oblation quotidienne du grand prêtre.
17. Il y avait sept mesures de liquides : le hine, le demi hine, le tiers de hine, le quart de hine, le log, le demi log, le quart [de log]. Et pourquoi y avait-il le demi hine le tiers de hine et le quart de hine ? Pour mesurer les libations des [accompagnant les] sacrifices. Le log pour mesurer l’huile des oblations, et le demi log pour mesurer l’huile pour chaque lampe parmi les lampes du candélabre, et le quart [de log] pour partager l’huile pour les ‘havitine .
18. Il n’y a rien à mesurer avec le hine. Pourquoi était-il présent ? Parce qu’il était dans le Temple à l’époque de Moïse pour mesurer l’huile pour l’huile d’onction. Et avec le demi log qui était dans le Temple, on mesurait l’eau pour les eaux de la sota et l’huile pour les sacrifices de reconnaissance. Et avec le quart [de log], on mesurait l’huile pour le pain du nazir et l’eau pour la purification du lépreux. Ce n’est pas par ces actes qu’elles [ces mesures] ont été sanctifiées, mais par les travaux dans le Temple précédemment évoqués.
19. Toutes ces mesures sont saintes et font partie des ustensiles sacerdotaux, mais les mesures de liquides ont été enduites à l’intérieur et à l’extérieur, et les mesures de solides ont été seulement enduites à l’intérieur. C’est pourquoi, ce qui déborde des mesures de liquides est saint et ce qui déborde des mesures de solides est profane [car la paroi extérieure n’est pas sainte].