(Suite du 23 Kislev) On peut donner de ces trois versets l'explication suivante, accessible à tous, est la suivante: "Le'hou Neranena", "Venez, réjouissons-nous".
Quand vient le mercredi, on commence à réfléchir: qu'aura-t-on pour célébrer le Chabbat? La question se pose au sens le plus littéral comme dans la dimension spirituelle: avec quoi ce Chabbat sera-t-il digne de ce nom? Chacun, de fait, vit le Chabbat différemment de la semaine. En se posant cette question, on devient mélancolique et la solution est donc: "Le'hou Neranena", "venez, réjouissons-nous", ayons confiance en D.ieu.
Lorsqu'arrive le jeudi, on s'approche du Chabbat et l'on a toujours rien. Le "Neranena" n'est alors plus aussi aisé et l'on comprend qu'il faut faire quelque chose.
Aussi, on étudie la 'Hassidout dans la nuit de jeudi. Ainsi, le vendredi, on perçoit que «l'Eternel est un Grand D.ieu et un Grand Roi». Avec cela, un Juif peut faire Chabbat.
A Min'ha, on ne dit pas le Ta'hanoun.
Hayom yom
24 Kislev 5785 / 12.25.2024
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