Sefer Hamitsvot
Notons que bon nombre de ces lois ne sont pas la halakha, c'est-à-dire la pratique observée dans les communautés juives. Elles ne sauraient donc en aucun cas être prises comme référence. Veuillez noter également que cette version est un premier essai qui fera l'objet de corrections ultérieures.
8 Tamouz 5784 / 07.14.2024
Cours N° 110
Mitsva positive N° 94 :
Il s'agit du commandement nous incombant d'accomplir toute chose à laquelle nous nous sommes engagés par la parole: serment, vœu, sacrifice et tout ce qui est analogue, car il est dit: "Mais la parole sortie de tes lèvres, tu dois l'exécuter religieusement".
Bien que nos Maîtres aient déjà discuté des termes de ce verset et aient expliqué chaque mot en soi, de toutes les façons, l'intention générale qui ressort de tout ce qu'ils ont déclaré peut se résumer ainsi: c'est un commandement positif de remplir toute obligation que l'on s'est engagé à accomplir envers soi-même et c'est transgresser un commandement négatif de ne pas le faire; nous expliquerons cela lorsque nous traiterons des commandements négatifs.
D'après le Sifri, "la parole sortie de tes lèvres se rapporte à un commandement positif". Or, tu sais qu'aucun commandement ne peut être dérivé de ces simples mots: la parole sortie de tes lèvres; par conséquent, la signification de ces mots doit être ce que j'ai cité comme étant leur sens littéral, c'est-à-dire que chacun est tenu d'accomplir toute chose à laquelle il s'est engagé par la parole.
Ce commandement a déjà été mentionné ailleurs en ces termes: "Tout ce qu'a proféré sa bouche, il doit l'accomplir".
Les dispositions relatives à ce commandement ont été expliquées dans plusieurs passages des Traités Chevou'oth, Nedarim, à la fin de Mena'hoth ainsi que dans le Traité Kinim. Cela signifie qu'il est clair que l'on doit être très pointilleux tant dans l'accomplissement de toute obligation que l'on s'est imposé qu'à la manière selon laquelle on peut en être exempté si l'on ne sait plus exactement ce que l'on a dit.
Il s'agit du commandement nous incombant d'accomplir toute chose à laquelle nous nous sommes engagés par la parole: serment, vœu, sacrifice et tout ce qui est analogue, car il est dit: "Mais la parole sortie de tes lèvres, tu dois l'exécuter religieusement".
Bien que nos Maîtres aient déjà discuté des termes de ce verset et aient expliqué chaque mot en soi, de toutes les façons, l'intention générale qui ressort de tout ce qu'ils ont déclaré peut se résumer ainsi: c'est un commandement positif de remplir toute obligation que l'on s'est engagé à accomplir envers soi-même et c'est transgresser un commandement négatif de ne pas le faire; nous expliquerons cela lorsque nous traiterons des commandements négatifs.
D'après le Sifri, "la parole sortie de tes lèvres se rapporte à un commandement positif". Or, tu sais qu'aucun commandement ne peut être dérivé de ces simples mots: la parole sortie de tes lèvres; par conséquent, la signification de ces mots doit être ce que j'ai cité comme étant leur sens littéral, c'est-à-dire que chacun est tenu d'accomplir toute chose à laquelle il s'est engagé par la parole.
Ce commandement a déjà été mentionné ailleurs en ces termes: "Tout ce qu'a proféré sa bouche, il doit l'accomplir".
Les dispositions relatives à ce commandement ont été expliquées dans plusieurs passages des Traités Chevou'oth, Nedarim, à la fin de Mena'hoth ainsi que dans le Traité Kinim. Cela signifie qu'il est clair que l'on doit être très pointilleux tant dans l'accomplissement de toute obligation que l'on s'est imposé qu'à la manière selon laquelle on peut en être exempté si l'on ne sait plus exactement ce que l'on a dit.