Rambam 3 Chapitres
Notons que bon nombre de ces lois ne sont pas la halakha, c'est-à-dire la pratique observée dans les communautés juives. Elles ne sauraient donc en aucun cas être prises comme référence. Veuillez noter également que cette version est un premier essai qui fera l'objet de corrections ultérieures.
7 Adar 5781 / 02.19.2021
Lois relatives à l’impureté des aliments :Chapitre Cinq
1. Les « manches » des aliments sont les tendres tiges juxtaposées au fruit par lesquelles le fruit est attaché à l’arbre, comme les queues des figues et des poires, et certaines parties de la grappe [de raisins]. Et il en est de même des pépins et des parties semblables qui sont nécessaires au fruit. Les parties qui protègent les aliments sont la peau qui recouvre le fruit et qui le protège. Et de même pour tout ce qui est semblable.
2. Tout ce qui sert de manche et non de protecteur contracte et transmet l’impureté, et n’est pas associé. Et tout ce qui protège, bien qu’il ne serve pas de manche, transmet et contracte l’impureté, et est associé. Et tout ce qui ne protège pas et qui ne sert pas de manche ni ne contracte, ni ne transmet l’impureté, et il est inutile de mentionner qu’il n’est pas associé. Que signifie qu’il [le manche] contracte et transmet l’impureté mais n’est pas associé ? Si une impureté est en contact avec un élément qui sert de manche [à un aliment], tout l’aliment qui est suspendu devient impur. Et si l’impureté est en contact avec l’aliment, le manche devient impur. [Toutefois,] ce manche ne s’associe pas avec l’aliment pour constituer le volume d’un œuf ou la moitié de la taille d’une demi-miche de pain. Mais s’il [l’élément en question] protège [le fruit], il est associé pour constituer le volume d’un œuf ou de la moitié d’une demi-miche de pain.
3. De même que le manche est pris en considération en ce qui concerne la transmission de l’impureté, ainsi, le manche est pris en considération en ce qui concerne l’aptitude [à contracter l’impureté], c'est-à-dire que si le manche devient apte [à contracter l’impureté], tout l’aliment qui y est suspendu devient apte [à contracter l’impureté]. [La règle concernant] le manche s’applique même s’il fait moins que le volume d’une olive, et [la règle de] la partie protectrice s’applique pour moins que le volume d’une fève. Et la partie protectrice qui est partagée n’est pas associée à l’aliment.
4. D’où savons-nous que les parties protectrices des aliments contractent l’impureté avec l’aliment quand elles sont attachées ? Car il est dit : « sur toute graine de graines qui a été plantée » ; de même que les gens utilisent pour la semence des grains de blé avec leurs poils, et des grains d’orge avec leur enveloppe et des lentilles avec leur enveloppe. Et identique est la loi concernant les autres parties protectrices.
5. D’où savons-nous que les « manches » des aliments contractent et transmettent l’impureté quand ils sont attachés aux aliments ? Car il est dit : « elle sera impure pour vous », pour tout ce qui vous est nécessaire [par rapport à cet aliment].
6. [La règle concernant] le manche n’est pas appliqué[e] dans le cas de celui qui fait la vendange [des raisins] pour le pressoir, étant donné qu’il n’a pas besoin du « manche » [du raisin] puisqu’il extrait le jus.
7. [La règle concernant] le manche n’est pas appliqué[e] dans le cas de celui qui moissonne [les épis de blé] pour servir de toit [pour la soucca], parce qu’il n’a pas besoin de manche [il n’a pas besoin que les chaumes soient attachés aux grains de blé].
8. Tous les manches des aliments [c'est-à-dire les épis] qui ont été battus dans l’aire de battage sont purs.
9. Un brin d’une grappe de raisins qui a été dépouillé [de ses raisins] est pur. Et s’il reste un seul grain [de raisin], il est [considéré comme] un manche pour ce grain et est susceptible de contracter l’impureté. Et de même, un brin de palmier qui a été dépouillé [de ses dattes] est pur. S’il reste une seule datte, il est susceptible de contracter l’impureté. Et de même, une tige de graines de légumineuse qui a été dépouillée de ses graines est pure. Et s’il reste une seule graine, elle est susceptible de contracter l’impureté.
10. Une partie protectrice sur une autre partie protectrice n’est jamais prise en considération. Plutôt, seule la partie protectrice qui est proche du fruit est comptée avec lui.
11. Il y a trois peaux dans l’oignon : [la peau] intérieure, qu’elle soit entière ou coupée, est associée [à l’oignon parce qu’elle est mangeable], [la peau] du milieu est associée [en tant que protectrice] si elle est entière, mais non si elle est coupée, [l’écorce] extérieure, quel que soit le cas, est pure.
12. Toutes les écorces sont susceptibles de contracter et de transmettre l’impureté et sont associées [avec le fruit], parce qu’elles servent de parties protectrices. La peau des fèves et du lupin, si on les jette, ne sont pas susceptibles de contracter l’impureté. Si on les prend pour les consommer, elles sont susceptibles de contracter l’impureté. Et s’il reste du fruit à l’intérieur d’elles, quel que soit le cas, elles sont susceptibles de contracter l’impureté. La peau du concombre, bien qu’il n’y ait rien [de la chair] du concombre à l’intérieur d’elle, est susceptible de contracter l’impureté liée aux aliments. Les grains d’orge, s’ils sont secs, leur enveloppe est associée [avec eux]. Et s’ils sont humides, elle n’est pas associée. Par contre, les grains de blé, qu’elle soit humide ou sèche, leur enveloppe est associée avec eux.
13. Tous les noyaux sont susceptibles de contracter et de transmettre l’impureté et ne sont pas associés [au fruit], à l’exception du noyau de la jeune datte fraîche. Mais [le noyau de] la datte sèche n’est pas associé [au fruit].
14. La membrane qui recouvre le noyau des jeunes dattes fraîches n’est pas associée [au fruit], et [la membrane] qui recouvre [le noyau] d’une datte sèche est associé [au fruit] ; étant donné qu’il est collé au fruit, il est considéré comme le fruit.
15. Une jeune datte fraîche dont le noyau est sorti en partie, toute la partie qui est dans le fruit est associée [au fruit], et la partie sortie [du fruit] n’est pas associée. Et de même, [dans le cas d’]un os qui est recouvert de chair, toute la partie qui est recouverte de chair est associée [à la chair]. S’il y a de la chair d’un côté [de l’os et non de l’autre], seule la partie de l’os qui est en dessous de la chair jusqu’à la partie creuse [de l’os] est associée [à la chair]. Et si l’os n’est pas creux [à l’intérieur], on le considère comme s’il y avait [de l’os une partie égale à] l’épaisseur de l’origan [collée à la chair], et le reste de l’os n’est pas associé. [La raison pour laquelle l’os est associé à la chair est que] les os pour la chair sont considérés comme une partie protectrice.
16. Si un fémur est recouvert de chair, même de la taille d’une fève, cela cause que tout est susceptible de contracter l’impureté.
17. Les noyaux d’olive et de datte, même s’ils ont été bouillis pour être utilisés comme nourriture, ne contractent pas l’impureté.
18. Les graines des caroubes, même si elles sont recueillies pour être utilisées comme nourriture, elles ne contractent pas l’impureté. Si on les cuit pour les utiliser comme nourriture, elles sont susceptibles de contracter l’impureté.
19. Tels sont ceux qui contractent et transmettent l’impureté et qui sont associés [au fruit] : les racines de l’ail, des oignons, et des poireaux lorsqu’elles sont fraîches. Et leur protubérance, qu’elle soit fraîche ou sèche, et la hampe qui est proche de la partie mangeable, les racines de la laitue, du radis rond, du long radis sont associées, mais ses racines fibreuses ne sont pas associées. Les racines de la menthe, de la rue, et les racines des herbes sauvages et des herbes jardinières qui sont arrachées pour être transplantées, et la tige d’un épi de blé et son enveloppe, et les queues des figues fraîches et sèches, les klassim [sorte de fines figues], et les caroubes.
20. Tels sont ceux qui contractent et transmettent l’impureté mais ne sont pas associés [au fruit] : les racines de l’ail, des oignons, et des poireaux lorsqu’elles sont sèches, la hampe qui n’est pas proche de la partie mangeable, et les glumes des épis de blé, qui sont les poils noirs à l’extrémité de l’épi qui ressemblent à une scie, les tiges des poires, des poires sauvages, des coings, et des aubépines, le téfa’h de la tige de la courge qui est proche de la partie mangeable, un téfa’h de la tige de l’artichaut, et de même, un téfa’h de chaque côté de la tige de parkhil, c'est-à-dire la petite branche à laquelle les grappes de raisins sont suspendues, la tige d’une grappe [de raisins], quelle que soit sa taille, la queue [l’extrémité] d’une grappe de raisins qui est dépouillée [des raisins, ceux-ci ne restants que sur la partie supérieure de la grappe], quatre téfa’him du « balai » d’un palmier, le « balai » étant le bois rouge auquel sont suspendues les tiges de dattes, avec les dattes attachées aux tiges. Trois téfa’him de la tige d’un épi de blé [la tige étant la partie inférieure de l’épi], les tiges de tout ce qui est moissonné, trois téfa’him. Et ce qui n’est pas usuellement moissonné, leur tige et leur racine, quelle que soit leur longueur ; tous ceux-ci contractent et transmettent l’impureté, et ne sont pas associées [à la partie mangeable], puisqu’ils sont des « manches » pour les aliments.
21. Tels sont ceux qui ni ne contractent, ni ne transmettent l’impureté, et ne sont pas associés : toutes les autres tiges, les racines des tiges de chou, les pousses de betterave et de navet, qui sont les racines qui restent dans le sol lorsque le chou et le navet sont cueillis, et qui repoussent ensuite, et toutes les racines qui sont usuellement coupées, quand elles sont arrachées avec la partie mangeable. La protubérance d’une grenade est associée [au fruit] mais sa « fleur » [les poils qui poussent autour de la protubérance] ne l’est pas.
22. Si une partie d’une grenade ou d’une pastèque pourrit, ce qui reste n’est pas [considéré comme] attaché à la partie qui a pourri, et ce qui reste de l’écorce [qui n’a pas pourri] n’est pas inclus avec le reste, car sa protection n’a aucun effet. Et de même, s’il est entier de part et d’autre, et pourri au milieu, les côtés ne sont pas [considérés comme] liés et leur écorce n’est pas associée. Les feuilles vertes des légumes [qui sont mangeables ou protègent le fruit] sont associées mais non les [feuilles] blanches [abîmées], parce qu’elles ne sont rien du tout.
2. Tout ce qui sert de manche et non de protecteur contracte et transmet l’impureté, et n’est pas associé. Et tout ce qui protège, bien qu’il ne serve pas de manche, transmet et contracte l’impureté, et est associé. Et tout ce qui ne protège pas et qui ne sert pas de manche ni ne contracte, ni ne transmet l’impureté, et il est inutile de mentionner qu’il n’est pas associé. Que signifie qu’il [le manche] contracte et transmet l’impureté mais n’est pas associé ? Si une impureté est en contact avec un élément qui sert de manche [à un aliment], tout l’aliment qui est suspendu devient impur. Et si l’impureté est en contact avec l’aliment, le manche devient impur. [Toutefois,] ce manche ne s’associe pas avec l’aliment pour constituer le volume d’un œuf ou la moitié de la taille d’une demi-miche de pain. Mais s’il [l’élément en question] protège [le fruit], il est associé pour constituer le volume d’un œuf ou de la moitié d’une demi-miche de pain.
3. De même que le manche est pris en considération en ce qui concerne la transmission de l’impureté, ainsi, le manche est pris en considération en ce qui concerne l’aptitude [à contracter l’impureté], c'est-à-dire que si le manche devient apte [à contracter l’impureté], tout l’aliment qui y est suspendu devient apte [à contracter l’impureté]. [La règle concernant] le manche s’applique même s’il fait moins que le volume d’une olive, et [la règle de] la partie protectrice s’applique pour moins que le volume d’une fève. Et la partie protectrice qui est partagée n’est pas associée à l’aliment.
4. D’où savons-nous que les parties protectrices des aliments contractent l’impureté avec l’aliment quand elles sont attachées ? Car il est dit : « sur toute graine de graines qui a été plantée » ; de même que les gens utilisent pour la semence des grains de blé avec leurs poils, et des grains d’orge avec leur enveloppe et des lentilles avec leur enveloppe. Et identique est la loi concernant les autres parties protectrices.
5. D’où savons-nous que les « manches » des aliments contractent et transmettent l’impureté quand ils sont attachés aux aliments ? Car il est dit : « elle sera impure pour vous », pour tout ce qui vous est nécessaire [par rapport à cet aliment].
6. [La règle concernant] le manche n’est pas appliqué[e] dans le cas de celui qui fait la vendange [des raisins] pour le pressoir, étant donné qu’il n’a pas besoin du « manche » [du raisin] puisqu’il extrait le jus.
7. [La règle concernant] le manche n’est pas appliqué[e] dans le cas de celui qui moissonne [les épis de blé] pour servir de toit [pour la soucca], parce qu’il n’a pas besoin de manche [il n’a pas besoin que les chaumes soient attachés aux grains de blé].
8. Tous les manches des aliments [c'est-à-dire les épis] qui ont été battus dans l’aire de battage sont purs.
9. Un brin d’une grappe de raisins qui a été dépouillé [de ses raisins] est pur. Et s’il reste un seul grain [de raisin], il est [considéré comme] un manche pour ce grain et est susceptible de contracter l’impureté. Et de même, un brin de palmier qui a été dépouillé [de ses dattes] est pur. S’il reste une seule datte, il est susceptible de contracter l’impureté. Et de même, une tige de graines de légumineuse qui a été dépouillée de ses graines est pure. Et s’il reste une seule graine, elle est susceptible de contracter l’impureté.
10. Une partie protectrice sur une autre partie protectrice n’est jamais prise en considération. Plutôt, seule la partie protectrice qui est proche du fruit est comptée avec lui.
11. Il y a trois peaux dans l’oignon : [la peau] intérieure, qu’elle soit entière ou coupée, est associée [à l’oignon parce qu’elle est mangeable], [la peau] du milieu est associée [en tant que protectrice] si elle est entière, mais non si elle est coupée, [l’écorce] extérieure, quel que soit le cas, est pure.
12. Toutes les écorces sont susceptibles de contracter et de transmettre l’impureté et sont associées [avec le fruit], parce qu’elles servent de parties protectrices. La peau des fèves et du lupin, si on les jette, ne sont pas susceptibles de contracter l’impureté. Si on les prend pour les consommer, elles sont susceptibles de contracter l’impureté. Et s’il reste du fruit à l’intérieur d’elles, quel que soit le cas, elles sont susceptibles de contracter l’impureté. La peau du concombre, bien qu’il n’y ait rien [de la chair] du concombre à l’intérieur d’elle, est susceptible de contracter l’impureté liée aux aliments. Les grains d’orge, s’ils sont secs, leur enveloppe est associée [avec eux]. Et s’ils sont humides, elle n’est pas associée. Par contre, les grains de blé, qu’elle soit humide ou sèche, leur enveloppe est associée avec eux.
13. Tous les noyaux sont susceptibles de contracter et de transmettre l’impureté et ne sont pas associés [au fruit], à l’exception du noyau de la jeune datte fraîche. Mais [le noyau de] la datte sèche n’est pas associé [au fruit].
14. La membrane qui recouvre le noyau des jeunes dattes fraîches n’est pas associée [au fruit], et [la membrane] qui recouvre [le noyau] d’une datte sèche est associé [au fruit] ; étant donné qu’il est collé au fruit, il est considéré comme le fruit.
15. Une jeune datte fraîche dont le noyau est sorti en partie, toute la partie qui est dans le fruit est associée [au fruit], et la partie sortie [du fruit] n’est pas associée. Et de même, [dans le cas d’]un os qui est recouvert de chair, toute la partie qui est recouverte de chair est associée [à la chair]. S’il y a de la chair d’un côté [de l’os et non de l’autre], seule la partie de l’os qui est en dessous de la chair jusqu’à la partie creuse [de l’os] est associée [à la chair]. Et si l’os n’est pas creux [à l’intérieur], on le considère comme s’il y avait [de l’os une partie égale à] l’épaisseur de l’origan [collée à la chair], et le reste de l’os n’est pas associé. [La raison pour laquelle l’os est associé à la chair est que] les os pour la chair sont considérés comme une partie protectrice.
16. Si un fémur est recouvert de chair, même de la taille d’une fève, cela cause que tout est susceptible de contracter l’impureté.
17. Les noyaux d’olive et de datte, même s’ils ont été bouillis pour être utilisés comme nourriture, ne contractent pas l’impureté.
18. Les graines des caroubes, même si elles sont recueillies pour être utilisées comme nourriture, elles ne contractent pas l’impureté. Si on les cuit pour les utiliser comme nourriture, elles sont susceptibles de contracter l’impureté.
19. Tels sont ceux qui contractent et transmettent l’impureté et qui sont associés [au fruit] : les racines de l’ail, des oignons, et des poireaux lorsqu’elles sont fraîches. Et leur protubérance, qu’elle soit fraîche ou sèche, et la hampe qui est proche de la partie mangeable, les racines de la laitue, du radis rond, du long radis sont associées, mais ses racines fibreuses ne sont pas associées. Les racines de la menthe, de la rue, et les racines des herbes sauvages et des herbes jardinières qui sont arrachées pour être transplantées, et la tige d’un épi de blé et son enveloppe, et les queues des figues fraîches et sèches, les klassim [sorte de fines figues], et les caroubes.
20. Tels sont ceux qui contractent et transmettent l’impureté mais ne sont pas associés [au fruit] : les racines de l’ail, des oignons, et des poireaux lorsqu’elles sont sèches, la hampe qui n’est pas proche de la partie mangeable, et les glumes des épis de blé, qui sont les poils noirs à l’extrémité de l’épi qui ressemblent à une scie, les tiges des poires, des poires sauvages, des coings, et des aubépines, le téfa’h de la tige de la courge qui est proche de la partie mangeable, un téfa’h de la tige de l’artichaut, et de même, un téfa’h de chaque côté de la tige de parkhil, c'est-à-dire la petite branche à laquelle les grappes de raisins sont suspendues, la tige d’une grappe [de raisins], quelle que soit sa taille, la queue [l’extrémité] d’une grappe de raisins qui est dépouillée [des raisins, ceux-ci ne restants que sur la partie supérieure de la grappe], quatre téfa’him du « balai » d’un palmier, le « balai » étant le bois rouge auquel sont suspendues les tiges de dattes, avec les dattes attachées aux tiges. Trois téfa’him de la tige d’un épi de blé [la tige étant la partie inférieure de l’épi], les tiges de tout ce qui est moissonné, trois téfa’him. Et ce qui n’est pas usuellement moissonné, leur tige et leur racine, quelle que soit leur longueur ; tous ceux-ci contractent et transmettent l’impureté, et ne sont pas associées [à la partie mangeable], puisqu’ils sont des « manches » pour les aliments.
21. Tels sont ceux qui ni ne contractent, ni ne transmettent l’impureté, et ne sont pas associés : toutes les autres tiges, les racines des tiges de chou, les pousses de betterave et de navet, qui sont les racines qui restent dans le sol lorsque le chou et le navet sont cueillis, et qui repoussent ensuite, et toutes les racines qui sont usuellement coupées, quand elles sont arrachées avec la partie mangeable. La protubérance d’une grenade est associée [au fruit] mais sa « fleur » [les poils qui poussent autour de la protubérance] ne l’est pas.
22. Si une partie d’une grenade ou d’une pastèque pourrit, ce qui reste n’est pas [considéré comme] attaché à la partie qui a pourri, et ce qui reste de l’écorce [qui n’a pas pourri] n’est pas inclus avec le reste, car sa protection n’a aucun effet. Et de même, s’il est entier de part et d’autre, et pourri au milieu, les côtés ne sont pas [considérés comme] liés et leur écorce n’est pas associée. Les feuilles vertes des légumes [qui sont mangeables ou protègent le fruit] sont associées mais non les [feuilles] blanches [abîmées], parce qu’elles ne sont rien du tout.
Lois relatives à l’impureté des aliments : Chapitre Quatre
1. Quelle doit être la quantité d’aliments pour contracter l’impureté ? Pour leur propre impureté, une quantité minime ; même une graine de sésame ou de moutarde contracte l’impureté, ainsi qu’il est dit : « de toute nourriture qui est mangeable » ; [même] une quantité minime. Et un aliment impur ne contamine pas un autre aliment, un liquide ou les mains, à moins qu’il y ait le volume d’un œuf sans la coquille. Et de même, celui qui mange des aliments impurs ne devient invalide [pour la consommation de la térouma et des offrandes] que s’il mange le volume d’un œuf et demi, et ceci correspond à la moitié d’une moitié de miche de pain.
2. Les liquides contractent l’impureté dans une quantité minime et transmettent l’impureté dans une quantité minime ; même si une goutte de liquide de la taille d’un grain de moutarde est en contact avec des aliments, avec des ustensiles, ou avec d’autres liquides, ceux-ci deviennent impurs. Néanmoins, celui qui boit un liquide impur ne devient invalide que s’il boit le quart [d’un log], comme nous l’avons expliqué.
3. Tous les liquides sont associés pour invalider le corps [d’une personne] par le quart [d’un log], et tous les aliments sont associés pour constituer le volume d’un œuf et transmettre l’impureté liée aux aliments, et pour constituer la moitié de la taille d’une moitié de miche de pain pour invalider le corps [d’un homme par rapport à la térouma]. Même du riz avec de la farine avec de la pâte, avec une datte avec de la viande et tout ce qui est semblable, tout est associé.
4. La peau qui est attachée à la chair, le jus, les épices, et les morceaux de chair restés attachés à la peau [lors du dépècement], bien qu’il ait eu l’intention [de manger] une partie mais non [de manger] l’autre partie, [ou que] certains [morceaux de chair attachés à la peau] aient été laissés par une bête sauvage [ayant dévoré la chair] et certains aient été laissés par le couteau [lors du dépècement], les os qui sont attachés à la chair, les guidin, les parties tendres des cornes et des sabots, les petites plumes et le duvet, et les parties tendres des griffes et du bec qui sont ancrées dans la chair, chacun d’eux est susceptible de contracter [l’impureté liée aux aliments] et de transmettre l’impureté, et s’associe pour constituer le volume d’un œuf ou la moitié du volume de la moitié d’une miche de pain.
5. Le volume d’un œuf d’aliments impurs qui a été laissé au soleil et a diminué ne transmet pas l’impureté. Et de même, le volume d’une olive d’un cadavre ou d’une nevéla, ou le volume d’une lentille d’un rampant mort qui a été laissé au soleil et a diminué est pur.
6. Le volume d’une olive de graisse, de sang, de [viande] notar, et de [viande] pigoul qui ont été laissés au soleil et ont diminué, on n’est pas passible pour eux de retranchement pour [la consommation de] ceux-ci. Si on les laisse [ensuite] exposés à la pluie et qu’ils gonflent, ils reprennent leur statut initial, que cela concerne une impureté sévère ou une impureté légère, ou l’interdiction [de la consommation].
7. Les feuilles d’oignons et les pousses d’oignons [ce qui pousse des oignons qui ne sont plus attachés à la terre, quand ils sont en contact avec de l’eau] qui sont creuses, si elles contiennent de la sève, on évalue [leur volume] telles qu’elles sont. Et si elles sont creuses et vides, on les écrase [lit. on écrase leur creux].
8. Le pain troué, on évalue [son volume] dans sa forme normale [avec les petits trous]. Et s’il a un creux [non négligeable], on l’écrase [lit. on écrase le creux].
9. La chair d’un veau qui a gonflé [par la cuisson] et la chair [d’une vache] âgée qui a diminué [par la cuisson] sont évaluées telles qu’elles sont [au moment du contact].
10. Les noix, les dattes, et les amandes qui cliquettent [du fait du creux à l’intérieur, quand elles sont sèches], on évalue [leur volume] telles qu’elles sont.
11. Tous les éléments dont [la nature de] l’impureté est la même et la mesure [pour transmettre l’impureté] est la même sont associés entre eux. S’ils sont concernés par une impureté de la même nature, mais non par la même mesure, [ou s’ils sont concernés par] la même mesure mais non par une impureté de la même nature, ils ne sont pas associés, même pour ce qui est de transmettre l’impureté comme celui des deux ayant le statut le plus léger. Qu’est-ce qu’un cas où [la nature de] l’impureté [est la même] mais non la mesure [pour transmettre l’impureté] ? Par exemple, la chair d’un cadavre et sa poussière. [Et qu’est-ce qu’un cas de] mesure [semblable pour ce qui est de transmettre l’impureté mais] d’impureté différente ? Par exemple, la chair d’un cadavre et la chair d’une nevéla. Et il est inutile de mentionner que s’ils ne sont concernés ni par la même mesure, ni par la même [nature de] l’impureté, par exemple, la chair d’une nevéla et la chair d’un rampant mort, ils ne sont pas associés.
12. Les aliments impurs sont concernés par la même mesure : tout aliment impur ne transmet l’impureté que par le volume d’un œuf. Et [la nature de] leur impureté est la même, car tout aliment impur ne transmet l’impureté que par le contact, et ne contamine ni les hommes, ni les ustensiles. C’est pourquoi, ils sont associés pour ce qui est de transmettre l’impureté comme celui des deux ayant le statut de le plus léger. Quel est le cas ? Un mélange de la moitié du volume d’une olive d’un aliment ayant le statut de premier [degré d’impureté] et de la moitié du volume d’une olive d’un aliment ayant le statut de second [degré d’impureté] a le statut de second [degré]. Et s’il est en contact avec de la térouma, il l’invalide. Le mélange d’un demi-volume d’une olive d’un aliment ayant le statut de second [degré d’impureté] avec la moitié du volume d’un œuf d’un aliment ayant le statut de troisième [degré d’impureté] a le statut de troisième [degré]. Et de même pour tout ce qui est semblable, même un mélange de la moitié du volume d’un œuf d’un aliment ayant le statut de premier [degré d’impureté] avec la moitié du volume d’un œuf d’un aliment sanctifié ayant le statut de quatrième [degré d’impureté] a le statut de quatrième [degré d’impureté].
13. Le mélange du volume d’un œuf d’un aliment [ayant le statut de] premier [degré d’impureté] avec le volume d’un œuf d’un aliment [ayant le statut de] second [degré d’impureté] a le statut de premier [degré d’impureté]. Si on partage [ce mélange en deux morceaux], chacun d’eux a le statut de second [degré d’impureté]. Si l’un et l’autre tombent séparément sur un pain de térouma, ils le rendent invalide [troisième degré d’impureté, qui ne transmet pas l’impureté aux autres]. S’ils tombent en même temps [sur le pain de térouma], ils lui confèrent le statut de second [degré d’impureté].
14. Le mélange du volume d’un œuf d’un aliment [ayant le statut de] second [degré d’impureté] avec le volume d’un aliment [ayant le statut de] troisième [degré d’impureté] a le statut de second [degré d’impureté]. Si on partage [ce mélange en deux morceaux], chacun d’eux a le statut de troisième [degré d’impureté]. Si l’un et l’autre tombent séparément sur un pain de térouma, ils ne l’invalident pas. S’ils tombent tous les deux au même moment, ils l’invalident, parce qu’ils lui confèrent le statut de troisième [degré d’impureté].
15. Le mélange du volume d’un œuf d’un aliment ayant le statut de premier [degré d’impureté] avec le volume d’un œuf d’un aliment [ayant le statut de] troisième [degré d’impureté] a le statut de premier [degré d’impureté]. Si on partage [le mélange en deux morceaux], chacun a le statut de second [degré d’impureté], car quand un troisième [degré d’impureté] est en contact avec un premier [degré], il [le troisième degré] devient second [degré].
16. Le mélange de deux volumes d’un œuf d’un aliment [ayant le statut de] premier [degré d’impureté] avec deux volumes d’un œuf d’un aliment [ayant le statut de] second [degré] a le statut de premier [degré]. S’il [le mélange] est partagé en deux, chacun d’eux [des deux morceaux] a le statut de premier [degré]. S’il est partagé en trois ou en quatre [morceaux], chacun d’eux a le statut de second [degré d’impureté]. Et de même, le mélange de deux volumes d’un œuf d’un aliment [ayant le statut de] second [degré d’impureté] avec deux volumes d’un œuf d’un aliment [ayant le statut de] troisième [degré d’impureté] a le statut de second [degré d’impureté]. S’il [le mélange] est partagé en deux, chacun d’eux [des morceaux] a le statut de second [degré d’impureté]. [S’il est partagé en] trois ou en quatre [morceaux], chacun d’eux a le statut de troisième [degré d’impureté].
2. Les liquides contractent l’impureté dans une quantité minime et transmettent l’impureté dans une quantité minime ; même si une goutte de liquide de la taille d’un grain de moutarde est en contact avec des aliments, avec des ustensiles, ou avec d’autres liquides, ceux-ci deviennent impurs. Néanmoins, celui qui boit un liquide impur ne devient invalide que s’il boit le quart [d’un log], comme nous l’avons expliqué.
3. Tous les liquides sont associés pour invalider le corps [d’une personne] par le quart [d’un log], et tous les aliments sont associés pour constituer le volume d’un œuf et transmettre l’impureté liée aux aliments, et pour constituer la moitié de la taille d’une moitié de miche de pain pour invalider le corps [d’un homme par rapport à la térouma]. Même du riz avec de la farine avec de la pâte, avec une datte avec de la viande et tout ce qui est semblable, tout est associé.
4. La peau qui est attachée à la chair, le jus, les épices, et les morceaux de chair restés attachés à la peau [lors du dépècement], bien qu’il ait eu l’intention [de manger] une partie mais non [de manger] l’autre partie, [ou que] certains [morceaux de chair attachés à la peau] aient été laissés par une bête sauvage [ayant dévoré la chair] et certains aient été laissés par le couteau [lors du dépècement], les os qui sont attachés à la chair, les guidin, les parties tendres des cornes et des sabots, les petites plumes et le duvet, et les parties tendres des griffes et du bec qui sont ancrées dans la chair, chacun d’eux est susceptible de contracter [l’impureté liée aux aliments] et de transmettre l’impureté, et s’associe pour constituer le volume d’un œuf ou la moitié du volume de la moitié d’une miche de pain.
5. Le volume d’un œuf d’aliments impurs qui a été laissé au soleil et a diminué ne transmet pas l’impureté. Et de même, le volume d’une olive d’un cadavre ou d’une nevéla, ou le volume d’une lentille d’un rampant mort qui a été laissé au soleil et a diminué est pur.
6. Le volume d’une olive de graisse, de sang, de [viande] notar, et de [viande] pigoul qui ont été laissés au soleil et ont diminué, on n’est pas passible pour eux de retranchement pour [la consommation de] ceux-ci. Si on les laisse [ensuite] exposés à la pluie et qu’ils gonflent, ils reprennent leur statut initial, que cela concerne une impureté sévère ou une impureté légère, ou l’interdiction [de la consommation].
7. Les feuilles d’oignons et les pousses d’oignons [ce qui pousse des oignons qui ne sont plus attachés à la terre, quand ils sont en contact avec de l’eau] qui sont creuses, si elles contiennent de la sève, on évalue [leur volume] telles qu’elles sont. Et si elles sont creuses et vides, on les écrase [lit. on écrase leur creux].
8. Le pain troué, on évalue [son volume] dans sa forme normale [avec les petits trous]. Et s’il a un creux [non négligeable], on l’écrase [lit. on écrase le creux].
9. La chair d’un veau qui a gonflé [par la cuisson] et la chair [d’une vache] âgée qui a diminué [par la cuisson] sont évaluées telles qu’elles sont [au moment du contact].
10. Les noix, les dattes, et les amandes qui cliquettent [du fait du creux à l’intérieur, quand elles sont sèches], on évalue [leur volume] telles qu’elles sont.
11. Tous les éléments dont [la nature de] l’impureté est la même et la mesure [pour transmettre l’impureté] est la même sont associés entre eux. S’ils sont concernés par une impureté de la même nature, mais non par la même mesure, [ou s’ils sont concernés par] la même mesure mais non par une impureté de la même nature, ils ne sont pas associés, même pour ce qui est de transmettre l’impureté comme celui des deux ayant le statut le plus léger. Qu’est-ce qu’un cas où [la nature de] l’impureté [est la même] mais non la mesure [pour transmettre l’impureté] ? Par exemple, la chair d’un cadavre et sa poussière. [Et qu’est-ce qu’un cas de] mesure [semblable pour ce qui est de transmettre l’impureté mais] d’impureté différente ? Par exemple, la chair d’un cadavre et la chair d’une nevéla. Et il est inutile de mentionner que s’ils ne sont concernés ni par la même mesure, ni par la même [nature de] l’impureté, par exemple, la chair d’une nevéla et la chair d’un rampant mort, ils ne sont pas associés.
12. Les aliments impurs sont concernés par la même mesure : tout aliment impur ne transmet l’impureté que par le volume d’un œuf. Et [la nature de] leur impureté est la même, car tout aliment impur ne transmet l’impureté que par le contact, et ne contamine ni les hommes, ni les ustensiles. C’est pourquoi, ils sont associés pour ce qui est de transmettre l’impureté comme celui des deux ayant le statut de le plus léger. Quel est le cas ? Un mélange de la moitié du volume d’une olive d’un aliment ayant le statut de premier [degré d’impureté] et de la moitié du volume d’une olive d’un aliment ayant le statut de second [degré d’impureté] a le statut de second [degré]. Et s’il est en contact avec de la térouma, il l’invalide. Le mélange d’un demi-volume d’une olive d’un aliment ayant le statut de second [degré d’impureté] avec la moitié du volume d’un œuf d’un aliment ayant le statut de troisième [degré d’impureté] a le statut de troisième [degré]. Et de même pour tout ce qui est semblable, même un mélange de la moitié du volume d’un œuf d’un aliment ayant le statut de premier [degré d’impureté] avec la moitié du volume d’un œuf d’un aliment sanctifié ayant le statut de quatrième [degré d’impureté] a le statut de quatrième [degré d’impureté].
13. Le mélange du volume d’un œuf d’un aliment [ayant le statut de] premier [degré d’impureté] avec le volume d’un œuf d’un aliment [ayant le statut de] second [degré d’impureté] a le statut de premier [degré d’impureté]. Si on partage [ce mélange en deux morceaux], chacun d’eux a le statut de second [degré d’impureté]. Si l’un et l’autre tombent séparément sur un pain de térouma, ils le rendent invalide [troisième degré d’impureté, qui ne transmet pas l’impureté aux autres]. S’ils tombent en même temps [sur le pain de térouma], ils lui confèrent le statut de second [degré d’impureté].
14. Le mélange du volume d’un œuf d’un aliment [ayant le statut de] second [degré d’impureté] avec le volume d’un aliment [ayant le statut de] troisième [degré d’impureté] a le statut de second [degré d’impureté]. Si on partage [ce mélange en deux morceaux], chacun d’eux a le statut de troisième [degré d’impureté]. Si l’un et l’autre tombent séparément sur un pain de térouma, ils ne l’invalident pas. S’ils tombent tous les deux au même moment, ils l’invalident, parce qu’ils lui confèrent le statut de troisième [degré d’impureté].
15. Le mélange du volume d’un œuf d’un aliment ayant le statut de premier [degré d’impureté] avec le volume d’un œuf d’un aliment [ayant le statut de] troisième [degré d’impureté] a le statut de premier [degré d’impureté]. Si on partage [le mélange en deux morceaux], chacun a le statut de second [degré d’impureté], car quand un troisième [degré d’impureté] est en contact avec un premier [degré], il [le troisième degré] devient second [degré].
16. Le mélange de deux volumes d’un œuf d’un aliment [ayant le statut de] premier [degré d’impureté] avec deux volumes d’un œuf d’un aliment [ayant le statut de] second [degré] a le statut de premier [degré]. S’il [le mélange] est partagé en deux, chacun d’eux [des deux morceaux] a le statut de premier [degré]. S’il est partagé en trois ou en quatre [morceaux], chacun d’eux a le statut de second [degré d’impureté]. Et de même, le mélange de deux volumes d’un œuf d’un aliment [ayant le statut de] second [degré d’impureté] avec deux volumes d’un œuf d’un aliment [ayant le statut de] troisième [degré d’impureté] a le statut de second [degré d’impureté]. S’il [le mélange] est partagé en deux, chacun d’eux [des morceaux] a le statut de second [degré d’impureté]. [S’il est partagé en] trois ou en quatre [morceaux], chacun d’eux a le statut de troisième [degré d’impureté].
Lois relatives à l’impureté des aliments : Chapitre Six
1. L’écorce des noix et des amandes qui a été coupée est encore [considérée comme] attachée au fruit jusqu’à ce qu’elle soit cassée.
2. Si un trou est fait dans [la coquille d’]un œuf légèrement grillé [qui n’est pas encore dur], de taille suffisante pour en avaler le contenu, le reste de la coquille n’est pas [considéré comme] attaché. Et [un œuf] cuit [et qui est légèrement dur, de sorte qu’il n’est pas possible d’en avaler le contenu au moyen d’un trou], sa coquille est [considérée comme] attachée jusqu’à ce qu’elle soit écrasée. Et s’il est épicé dans sa coquille, bien qu’elle soit cassée, elle est entièrement liée.
3. Un os qui contient de la moelle, est [considéré comme] attaché [à celle-ci] jusqu’à ce qu’il soit brisé. La laine qui est sur la tête des moutons et les poils de la barbe des boucs, bien qu’ils aient été légèrement brûlés au feu, ils sont [considérés comme] attachés jusqu’à ce que l’on commence à les arracher.
4. Les ailes des sauterelles et les écailles des poissons, bien qu’on les ait éraflées au couteau, sont [considérées comme] attachées jusqu’à ce que l’on commence à les peler. Une grenade [dont les grains ont été] décollés [de la membrane à l’intérieur de celle-ci, de sorte qu’ils se mouvent à l’intérieur de la membrane], elle [la peau de la grenade] est [considérée comme] attachée [aux grains] jusqu’à ce qu’elle soit frappée avec un bâton [de sorte que les grains soient complètement séparés de la membrane].
5. Les branches de dattes ne sont pas [considérées comme] attachées entre elles [si une impureté est en contact avec l’un d’elles, les autres branches sur le même « balai » (cf. ch. 5 § 20) ne deviennent pas impures].
6. Si un concombre est coupé et posé sur la table [c'est-à-dire que les morceaux sont encore attachés par le bas], ils sont [considérés comme] attachés jusqu’à ce qu’on commence à les séparer. Quand on commence à les séparer, tout qui est soulevé avec un morceau est [considéré comme] attaché [à celui-ci] et le reste n’est pas [considéré comme] attaché. La saillie inférieure est [considérée comme] attachée à son propre morceau mais n’est pas [considérée comme] attachée aux autres morceaux. S’il y a deux ou trois concombres et que l’on coupe chacun d’eux, que l’on pose sur une table, et que l’on commence par l’un d’eux, celui par lequel on commence, [ses morceaux sont considérés comme] attachés, mais [les morceaux de] l’autre ne sont pas [considérés comme] attachés. Même s’il dit : « j’en mange la moitié au matin et l’autre moitié au soir », la moitié par laquelle il commence est [considérée comme] attachée et l’autre [moitié] n’est pas [considérée comme] attachée.
7. Celui qui coupe des légumes ou quelque chose de semblable pour les cuire, bien qu’il ne les ait pas coupés entièrement, ils [les morceaux] ne sont pas [considérés comme] attachés. Plutôt, si l’un [un morceau] devient impur, l’autre ne devient pas impur, bien qu’ils y soient liés. S’il les coupe pour les faire macérer ou les cuire légèrement, ou les poser sur la table, ils sont [considérés comme] attachés, même s’il commence à séparer ce qu’il a coupé.
8. Tout aliment [fruit] qui n’a pas encore été coupé en morceaux distincts est [les morceaux sont considérés comme] attaché[s], et si une partie devient impure, il devient entièrement impur.
9. Soit un fruit qui a été coupé en deux et [un morceau] est en partie attaché [à l’autre] ; un individu impur touche l’un d’eux, [la règle suivante est appliquée], si, quand on tient celui [le morceau] qu’il [l’individu impur] a touché, l’autre y est suspendu, ils sont [considérés comme] attachés. Et si, quand on saisit le [morceau] impur et qu’on le soulève, l’autre se détache et tombe, ils ne sont pas [considérés comme] attachés ; plutôt, l’autre est considéré comme [un morceau séparé] en contact avec le premier qui est devenu impur [et les lois de la transmission de l’impureté par le contact sont appliquées].
10. Tous les fruits auxquels les feuilles ou les tiges sont attachées, ce qui est généralement saisi par sa feuille, on le saisit par sa feuille. [Ce qui est généralement saisit] par la tige, on le saisit par la tige ; s’il [le fruit] est suspendu avec [la feuille ou la racine], il est [considéré comme] attaché en ce qui concerne [l’impureté d’]un individu qui s’est immergé dans la journée [de sorte que si celui-ci touche la feuille ou la tige, l’impureté s’étend au fruit également], et, inutile de mentionner, par rapport aux autres impuretés. Et de même, s’il a un manche, on le saisit par son manche [et si le fruit est saisi avec, il est considéré lié à celui-ci]. S’il a un manche et une feuille, on le saisit par la partie que l’on désire. S’il n’a ni manche, ni feuille, à ce sujet, ils [les sages] ont dit : « s’il est saisi par une partie impure et que le reste est saisi avec, ils sont [considérés comme] attachés. Et sinon, ils ne sont pas attachés.
11. Des noix qui ont été coupées avec leurs tiges alors qu’elles sont tendres et qui sont attachées ensemble comme une corde [c'est-à-dire qu’elles ont été attachées l’une à l’autre au moyen d’un fil à leur tige], et de même, les oignons qui sont rattachés de cette façon, ils sont [considérés comme] attachés. Quand on commence à détacher les noix [de leurs tiges] et couper [les feuilles des] oignons, le reste [de la chaîne, qui est encore attaché] n’est pas [considéré comme] attaché. Même s’il y a cent kor [dès lors que l’on commence à les détacher], ils sont tous [considérés comme] non-attachés, parce qu’on a montré que l’on a l’intention de tout séparer.
12. Soit une botte d’ail ; un liquide tombe sur un [pied], celui-ci est susceptible de contracter l’impureté mais non ce qui est attaché à lui, car un lien crée par un homme n’est pas [considéré comme] un lien en tous points. Et de même, [dans le cas d’]un cédrat qui a été coupé et [les différentes parties] ont été attachées par un fuseau ou par un éclat de bois, elles ne sont pas [considérées comme] attachées.
13. Une pâte qui a été pétrie avec du jus de fruits, ils [les différents morceaux de pâte] ne sont pas [considérés comme] attachés, car il n’y a que les sept liquides qui lient les aliments.
14. Quand on écrase des fruits l’un contre l’autre et qu’on les assemble, par exemple, la pâte de figues sèches, les dattes ou les raisins secs dont on fait un seul bloc, ils ne sont pas [considérés comme] attachés. C’est pourquoi, quand un liquide impur tombe sur un bloc rond de figues, on enlève l’endroit où se trouve le liquide, et le reste est pur.
15. Les dattes et figues sèches qui ont été cuites et sont devenues un bloc sont [considérées comme] attachées.
16. Les olives que l’on a mises en cuve [dans une fosse en attendant qu’elles soient emmenées au pressoir] et qui sont devenues un bloc sont [considérées comme] attachées, parce que le principal but, en les mettant dans la cuve, était qu’elles puisent [l’huile] l’une de l’autre [et ainsi d’extraire plus facilement toute l’huile du tas dans le pressoir]. C’est pourquoi, si un rampant mort se trouve sur un bloc d’olive[s], c'est-à-dire les olives qui sont devenues une seule entité, même s’il est en contact avec le volume d’un grain d’orge, tout [le bloc d’olives] est impur, car le tout est une seule entité. S’il [un individu] a un bloc d’olives et s’apprête à le briser, dès qu’il y plante la pique [réservée à cet effet], bien qu’il y ait plusieurs blocs [qui n’ont pas été séparés], ils ne sont pas [considérés comme] attachés. Et s’ils redeviennent un seul bloc après qu’il [le premier bloc] ait été brisé [et qu’ils aient été séparés], ils ne sont pas [considérés comme] attachés.
17. Si différents morceaux d’un aliment sont assemblés et collés ensemble, bien qu’ils ne soient pas [considérés comme] attachés pour ce qui est de contracter l’impureté et non comme une seule entité, comme nous l’avons expliqué, ils s’associent pour constituer le volume d’un œuf pour transmettre l’impureté aux autres aliments. Et si on ne les a pas assemblés, mais qu’ils sont séparés, comme [des graines de céréales ou] des graines de légumineuses cuites dans une marmite, ne sont pas associés jusqu’à ce qu’ils soient assemblés et forment un seul bloc. S’il y a plusieurs blocs juxtaposés l’un à l’autre, et qu’on père d’impureté touche l’un d’eux, celui-ci a le statut de premier degré, celui qui est à côté [a le statut] de second [degré], celui qui est à côté de ce dernier [a le statut de] de troisième [degré] et celui qui a juxtaposé au troisième [a le statut] de quatrième [degré d’impureté].
18. Un pain de térouma qui avait le statut de premier degré d’impureté et auquel on en a collé d’autres [à l’état de pâte], tous ont le statut de premier [degré d’impureté]. S’il [le premier] est [ensuite] séparé [des autres], il [le premier pain] a le statut de premier [degré d’impureté] et tous [les autres] ont le statut de second [degré d’impureté]. S’il avait le statut de second [degré d’impureté] et qu’il en a collé d’autres, tous ont le statut de second [degré d’impureté]. S’il [le premier pain] est [ensuite] séparé, il a le statut de second [degré d’impureté] et tous [les autres] ont le statut de troisième [degré d’impureté]. S’il avait le statut de troisième [degré d’impureté] et qu’il en a collé d’autres, il [le premier] est impur et tous [les autres] sont purs, qu’ils aient été séparés ou non.
19. Les pains de térouma qui sont légèrement attachés , si l’un d’eux devient impur par un rampant mort, tous ont le statut de premier degré d’impureté, bien qu’ils soient ensuite séparés [du premier pain]. Si l’un devient impur par un liquide impur, tous ont le statut de second [degré d’impureté], bien qu’ils soient séparés par la suite. Si l’un d’eux devient impur par les mains, tous ont le statut de troisième [degré d’impureté], bien qu’ils se soient [ensuite] séparés, parce qu’ils formaient une seule entité au moment où ils ont contracté l’impureté.
2. Si un trou est fait dans [la coquille d’]un œuf légèrement grillé [qui n’est pas encore dur], de taille suffisante pour en avaler le contenu, le reste de la coquille n’est pas [considéré comme] attaché. Et [un œuf] cuit [et qui est légèrement dur, de sorte qu’il n’est pas possible d’en avaler le contenu au moyen d’un trou], sa coquille est [considérée comme] attachée jusqu’à ce qu’elle soit écrasée. Et s’il est épicé dans sa coquille, bien qu’elle soit cassée, elle est entièrement liée.
3. Un os qui contient de la moelle, est [considéré comme] attaché [à celle-ci] jusqu’à ce qu’il soit brisé. La laine qui est sur la tête des moutons et les poils de la barbe des boucs, bien qu’ils aient été légèrement brûlés au feu, ils sont [considérés comme] attachés jusqu’à ce que l’on commence à les arracher.
4. Les ailes des sauterelles et les écailles des poissons, bien qu’on les ait éraflées au couteau, sont [considérées comme] attachées jusqu’à ce que l’on commence à les peler. Une grenade [dont les grains ont été] décollés [de la membrane à l’intérieur de celle-ci, de sorte qu’ils se mouvent à l’intérieur de la membrane], elle [la peau de la grenade] est [considérée comme] attachée [aux grains] jusqu’à ce qu’elle soit frappée avec un bâton [de sorte que les grains soient complètement séparés de la membrane].
5. Les branches de dattes ne sont pas [considérées comme] attachées entre elles [si une impureté est en contact avec l’un d’elles, les autres branches sur le même « balai » (cf. ch. 5 § 20) ne deviennent pas impures].
6. Si un concombre est coupé et posé sur la table [c'est-à-dire que les morceaux sont encore attachés par le bas], ils sont [considérés comme] attachés jusqu’à ce qu’on commence à les séparer. Quand on commence à les séparer, tout qui est soulevé avec un morceau est [considéré comme] attaché [à celui-ci] et le reste n’est pas [considéré comme] attaché. La saillie inférieure est [considérée comme] attachée à son propre morceau mais n’est pas [considérée comme] attachée aux autres morceaux. S’il y a deux ou trois concombres et que l’on coupe chacun d’eux, que l’on pose sur une table, et que l’on commence par l’un d’eux, celui par lequel on commence, [ses morceaux sont considérés comme] attachés, mais [les morceaux de] l’autre ne sont pas [considérés comme] attachés. Même s’il dit : « j’en mange la moitié au matin et l’autre moitié au soir », la moitié par laquelle il commence est [considérée comme] attachée et l’autre [moitié] n’est pas [considérée comme] attachée.
7. Celui qui coupe des légumes ou quelque chose de semblable pour les cuire, bien qu’il ne les ait pas coupés entièrement, ils [les morceaux] ne sont pas [considérés comme] attachés. Plutôt, si l’un [un morceau] devient impur, l’autre ne devient pas impur, bien qu’ils y soient liés. S’il les coupe pour les faire macérer ou les cuire légèrement, ou les poser sur la table, ils sont [considérés comme] attachés, même s’il commence à séparer ce qu’il a coupé.
8. Tout aliment [fruit] qui n’a pas encore été coupé en morceaux distincts est [les morceaux sont considérés comme] attaché[s], et si une partie devient impure, il devient entièrement impur.
9. Soit un fruit qui a été coupé en deux et [un morceau] est en partie attaché [à l’autre] ; un individu impur touche l’un d’eux, [la règle suivante est appliquée], si, quand on tient celui [le morceau] qu’il [l’individu impur] a touché, l’autre y est suspendu, ils sont [considérés comme] attachés. Et si, quand on saisit le [morceau] impur et qu’on le soulève, l’autre se détache et tombe, ils ne sont pas [considérés comme] attachés ; plutôt, l’autre est considéré comme [un morceau séparé] en contact avec le premier qui est devenu impur [et les lois de la transmission de l’impureté par le contact sont appliquées].
10. Tous les fruits auxquels les feuilles ou les tiges sont attachées, ce qui est généralement saisi par sa feuille, on le saisit par sa feuille. [Ce qui est généralement saisit] par la tige, on le saisit par la tige ; s’il [le fruit] est suspendu avec [la feuille ou la racine], il est [considéré comme] attaché en ce qui concerne [l’impureté d’]un individu qui s’est immergé dans la journée [de sorte que si celui-ci touche la feuille ou la tige, l’impureté s’étend au fruit également], et, inutile de mentionner, par rapport aux autres impuretés. Et de même, s’il a un manche, on le saisit par son manche [et si le fruit est saisi avec, il est considéré lié à celui-ci]. S’il a un manche et une feuille, on le saisit par la partie que l’on désire. S’il n’a ni manche, ni feuille, à ce sujet, ils [les sages] ont dit : « s’il est saisi par une partie impure et que le reste est saisi avec, ils sont [considérés comme] attachés. Et sinon, ils ne sont pas attachés.
11. Des noix qui ont été coupées avec leurs tiges alors qu’elles sont tendres et qui sont attachées ensemble comme une corde [c'est-à-dire qu’elles ont été attachées l’une à l’autre au moyen d’un fil à leur tige], et de même, les oignons qui sont rattachés de cette façon, ils sont [considérés comme] attachés. Quand on commence à détacher les noix [de leurs tiges] et couper [les feuilles des] oignons, le reste [de la chaîne, qui est encore attaché] n’est pas [considéré comme] attaché. Même s’il y a cent kor [dès lors que l’on commence à les détacher], ils sont tous [considérés comme] non-attachés, parce qu’on a montré que l’on a l’intention de tout séparer.
12. Soit une botte d’ail ; un liquide tombe sur un [pied], celui-ci est susceptible de contracter l’impureté mais non ce qui est attaché à lui, car un lien crée par un homme n’est pas [considéré comme] un lien en tous points. Et de même, [dans le cas d’]un cédrat qui a été coupé et [les différentes parties] ont été attachées par un fuseau ou par un éclat de bois, elles ne sont pas [considérées comme] attachées.
13. Une pâte qui a été pétrie avec du jus de fruits, ils [les différents morceaux de pâte] ne sont pas [considérés comme] attachés, car il n’y a que les sept liquides qui lient les aliments.
14. Quand on écrase des fruits l’un contre l’autre et qu’on les assemble, par exemple, la pâte de figues sèches, les dattes ou les raisins secs dont on fait un seul bloc, ils ne sont pas [considérés comme] attachés. C’est pourquoi, quand un liquide impur tombe sur un bloc rond de figues, on enlève l’endroit où se trouve le liquide, et le reste est pur.
15. Les dattes et figues sèches qui ont été cuites et sont devenues un bloc sont [considérées comme] attachées.
16. Les olives que l’on a mises en cuve [dans une fosse en attendant qu’elles soient emmenées au pressoir] et qui sont devenues un bloc sont [considérées comme] attachées, parce que le principal but, en les mettant dans la cuve, était qu’elles puisent [l’huile] l’une de l’autre [et ainsi d’extraire plus facilement toute l’huile du tas dans le pressoir]. C’est pourquoi, si un rampant mort se trouve sur un bloc d’olive[s], c'est-à-dire les olives qui sont devenues une seule entité, même s’il est en contact avec le volume d’un grain d’orge, tout [le bloc d’olives] est impur, car le tout est une seule entité. S’il [un individu] a un bloc d’olives et s’apprête à le briser, dès qu’il y plante la pique [réservée à cet effet], bien qu’il y ait plusieurs blocs [qui n’ont pas été séparés], ils ne sont pas [considérés comme] attachés. Et s’ils redeviennent un seul bloc après qu’il [le premier bloc] ait été brisé [et qu’ils aient été séparés], ils ne sont pas [considérés comme] attachés.
17. Si différents morceaux d’un aliment sont assemblés et collés ensemble, bien qu’ils ne soient pas [considérés comme] attachés pour ce qui est de contracter l’impureté et non comme une seule entité, comme nous l’avons expliqué, ils s’associent pour constituer le volume d’un œuf pour transmettre l’impureté aux autres aliments. Et si on ne les a pas assemblés, mais qu’ils sont séparés, comme [des graines de céréales ou] des graines de légumineuses cuites dans une marmite, ne sont pas associés jusqu’à ce qu’ils soient assemblés et forment un seul bloc. S’il y a plusieurs blocs juxtaposés l’un à l’autre, et qu’on père d’impureté touche l’un d’eux, celui-ci a le statut de premier degré, celui qui est à côté [a le statut] de second [degré], celui qui est à côté de ce dernier [a le statut de] de troisième [degré] et celui qui a juxtaposé au troisième [a le statut] de quatrième [degré d’impureté].
18. Un pain de térouma qui avait le statut de premier degré d’impureté et auquel on en a collé d’autres [à l’état de pâte], tous ont le statut de premier [degré d’impureté]. S’il [le premier] est [ensuite] séparé [des autres], il [le premier pain] a le statut de premier [degré d’impureté] et tous [les autres] ont le statut de second [degré d’impureté]. S’il avait le statut de second [degré d’impureté] et qu’il en a collé d’autres, tous ont le statut de second [degré d’impureté]. S’il [le premier pain] est [ensuite] séparé, il a le statut de second [degré d’impureté] et tous [les autres] ont le statut de troisième [degré d’impureté]. S’il avait le statut de troisième [degré d’impureté] et qu’il en a collé d’autres, il [le premier] est impur et tous [les autres] sont purs, qu’ils aient été séparés ou non.
19. Les pains de térouma qui sont légèrement attachés , si l’un d’eux devient impur par un rampant mort, tous ont le statut de premier degré d’impureté, bien qu’ils soient ensuite séparés [du premier pain]. Si l’un devient impur par un liquide impur, tous ont le statut de second [degré d’impureté], bien qu’ils soient séparés par la suite. Si l’un d’eux devient impur par les mains, tous ont le statut de troisième [degré d’impureté], bien qu’ils se soient [ensuite] séparés, parce qu’ils formaient une seule entité au moment où ils ont contracté l’impureté.