Rambam 1 Chapitre
Notons que bon nombre de ces lois ne sont pas la halakha, c'est-à-dire la pratique observée dans les communautés juives. Elles ne sauraient donc en aucun cas être prises comme référence. Veuillez noter également que cette version est un premier essai qui fera l'objet de corrections ultérieures.
17 Chevat 5781 / 01.30.2021
Lois de Hannouca
Chapitre Trois
1. A l'époque du Second Temple, lorsque les rois de Grèce promulguèrent des décrets contre les juifs, abrogèrent leur foi, ne les laissèrent pas s'investir dans la Thora et les commandements, s'en prirent à leur argent et à leurs filles, entrèrent dans le Temple, y firent des brèches, et rendirent impur ce qui était pur, les juifs étaient une grande détresse ; ils [les grecs] les opprimèrent, jusqu'à ce que le D.ieu de nos pères les pris en pitié, et que les hommes de la maison de ‘Hachmonaï, les grands prêtres, les tuèrent [les grecs] et sauvèrent les juifs de leur main. Ils établirent un roi issu des prêtres et la royauté fut de nouveau instituée parmi Israël pour plus de deux cents ans, jusqu'à la destruction du second [Temple].
2. Lorsque les juifs, prirent le dessus sur leurs ennemis et les éliminèrent le 25 Kislev, ils entrèrent dans le Temple, et ne trouvèrent pas d'huile pure dans le Temple [pour allumer le candélabre], si ce n'est une fiole qui ne pouvait durer qu'un jour ; ils allumèrent avec elle les lumières de la rangée [de lampes] pendant huit jours, le temps de piler des olives et produire de l'huile pure.
3. Pour cela, les sages de cette génération ont institué que ces huit jours, qui commencent le 25 Kislev, soient des jours de joie et de louange. On allume des lampes le soir devant les portes des maisons chacune de ces huit nuits pour montrer et faire connaître le miracle. Ces jours sont appelés Hannouca, et il est interdit [pendant ces huit jours] de prononcer une oraison funèbre et de jeûner, comme les jours de Pourim. L'allumage des lampes est un commandement d'ordre rabbinique, comme la lecture de la méguila.
4. Quiconque est astreint à la lecture de la méguila est astreint à l'allumage de la lampe de ‘Hannouca. Celui qui l’allume le premier soir récite trois bénédictions qui sont: “Béni Tu es, Eterne-l notre D.ieu, Roi de l'univers, Qui nous as sanctifiés et nous a ordonné d'allumer la lampe de ‘Hannouca”, “Qui a fait des miracles pour nos pères, etc.”, et “Qui nous a fait vivre et subsister, etc.”. Celui qui la voit [la lampe de Hannouca et n'a pas encore récité la bénédiction récite deux bénédictions: “Qui a fait des miracles pour nos pères” et “Qui nous a fait vivre”. Les autres nuits, celui qui allume récite deux bénédictions, et celui qui voit [la lampe] récite une bénédiction, car on ne récite “Qui nous fait vivre” que la première nuit.
5. Chacun de ces huit jours, on lit le Hallel complet, et on récite avant la bénédiction: “Qui nous a sanctifié par Ses commandements et nous a ordonné de lire le Hallel complet”, [ceci est valable pour] un particulier comme [pour] la communauté. Bien que la lecture du Hallel soit un commandement d'ordre rabbinique, on récite la bénédiction: “Qui nous a sanctifié par Ses commandements et nous a ordonné”, comme l'on récite une bénédiction pour la méguila et pour le érouv. [On y mentionne « D.ieu nous a ordonné » bien que cela ait été institué par les sages,] car pour toute institution d'ordre rabbinique qui n'est pas fondée sur un doute, on récite une bénédiction. Par contre, pour ce qui est d'ordre rabbinique, et dont le fondement est un doute, comme la dîme du demaï, on ne récite pas de bénédiction. Et pourquoi récite-t-on une bénédiction pour le second jour de fête alors qu'il fut institué [par les sages] du fait d'un doute? Afin de ne pas le traiter avec mépris.
6. Ce n'est pas seulement le Hallel de Hannouca qui est d'ordre rabbinique. Plutôt, la lecture du Hallel est toujours d'ordre rabbinique tous les jours où l'on lit le Hallel complet. Dix-huit jours dans l'année, il est une mitsva de lire le Hallel complet. Les voici: les huit jours de Souccot, les huit jours de Hannouca, le premier jour de Pessa'h et le jour de Chavouôt. Par contre, Roch Hachana et le jour de Kippour, on ne lit pas le Hallel parce que ce sont des jours de repentir, de crainte et d'effroi et non des jours de grande joie. Ils [les sages] n'ont pas institué la lecture du Hallel à Pourim car la lecture de la méguila est elle-même [considérée comme] le Hallel.
7. Dans les endroits où l'on pratique deux jours de fête, on lit le Hallel complet 21 jours: les neuf jours de Souccot, les huit jours de Hannouca, les deux [premiers] jours de Pessa'h, et les deux jours de Chavouôt. Par contre Roch Hodech, la lecture du Hallel est une coutume et non un commandement. Cette coutume se pratique en communauté. C'est pourquoi on lit en sautant [des passages]. On ne récite pas de bénédiction car on ne récite pas de bénédiction pour une coutume. Et un particulier ne doit pas le réciter [le Hallel un jour de Roch Hodech]. [Néanmoins,] s'il commence, il termine et lit en sautant [des passages] comme on lit en communauté. Et de même, pour les autres jours de Pessa'h, on lit en sautant [des passages] comme pour Roch Hodech.
8. Comment saute-t-on [des passages]? On commence depuis le début du Hallel jusqu'à “Halamich lemayno maïm”, on saute [le passage suivant] et on récite [le passage qui commence par:] “Hachem, zekharanou, etc.” jusqu'à “Hallelouy-a”. Puis, on saute [le passage suivant] et on dit [le passage qui commence par:] “Ma achiv lHachem” jusqu'à “Hallalouy-a”, on saute [le passage suivant] et on récite [le passage qui commence par:] “Min hamétsar karati Y-a” jusqu'à la fin du Hallel. Ceci est la coutume ordinaire. Certains sautent [des passages] à d'autres endroits.
9. Toute la journée convient pour la lecture du Hallel. Et celui qui lit le Hallel sans en suivre l'ordre n'est pas quitte. S'il lit, attend, puis continue à lire, même s'il attend un temps équivalent à celui nécessaire pour terminer tout [le Hallel], il est quitte. Les jours où l'on lit le Hallel complet, on peut s'interrompre entre un chapitre et un autre, mais non au milieu d'un chapitre. Et les jours où on lit [le Hallel] en sautant, on peut s'interrompre même au milieu d'un chapitre.
10. Tous les jours où l'on lit le Hallel complet, on récite au préalable une bénédiction. Et dans un lieu où il est de coutume de réciter une bénédiction après [la lecture], on récite une bénédiction. Quelle bénédiction récite-t-on [après la lecture]? “Que soient bénis, Eterne-l notre D.ieu, toutes Tes actions, les justes et les pieux qui accomplissent Ta volonté, et tout Ton peuple Israël dans le chant sera reconnaissant envers Ton Nom. Car Toi, ô D.ieu, il est bon de Te louer, et il convient de chanter à Ton Nom, du monde au monde, Tu es D.ieu. Béni Tu es, ô D.ieu, le Roi Qui est loué, Qui est béni, Qui est majestueux, Qui subsiste éternellement, et Qui régnera à jamais”.
11. Il y a des endroits où il est de coutume de lire deux fois [chaque verset] depuis “Odekha ki anitani” jusqu'à la fin du Hallel. Dans un lieu où il est de coutume de répéter, on le fait. Et dans un lieu où il est de coutume de ne pas répéter, on ne le fait pas.
12. Telle était la coutume de la lecture du Hallel à l'époque des premiers sages: après que le plus éminent, qui lit le Hallel, ait récité la bénédiction, il commence et dit “Hallelouy-a” et tout le monde répond “Hallelouy-a”. Puis, il continue et dit: “Hallelou Avdei Hachem” et tout le monde répond “Hallelouy-a”. Il continue et dit: “Hallelou ete chem Hachem” et tout le monde répond “Hallelouy-a”. Puis, il recommence et dit: “Yehi Chêm Hachem Mev'orakh Méata Véad Olam” et tout le monde répond “Hallelouy-a”. Et de même pour chaque expression, de sorte qu'ils [les fidèles] répondent 123 fois “Hallelouy-a” dans tout le Hallel. Le signe mnémotechnique [en] est les années [de la vie] d'Aaron.
13. De plus, lorsque celui qui lit arrive au début de chaque passage, ils répètent ce qu'il dit. Comment [cela s'applique-t-il]? Lorsqu'il dit: “Betset Israël Mimitsraïm”, tout le monde répond, “Betset Israël Mimitsraïm”. Celui qui officie dit “Beit Yaakov Méam Loëz” et tout le monde répond “Hallelouy-a” jusqu'à ce qu'il dise “Ahavti ki ychma Hachem ete koli ta'hanounaï”, et tout le monde reprend et dit: “Ahavti ki ychma Hachem, etc.” Et de même, lorsque celui qui officie dit: “Hallelou ete Hachem kol goyim”, tout le monde répète “Hallelou ete Hachem kol goyim”.
14. Celui qui officie dit: “Ana Hachem hochia na” et ils répondent après lui: “Ana Hachem hochia na”, bien que cela ne soit pas le début d'un [nouveau] passage. Il [celui qui officie] dit: “Ana Hachem hatsli'ha na”, et ils répondent “ana Hachem hatsli'ha na”. Il dit: “Baroukh haba“ et tout le monde répond “baroukh haba”. Et si celui qui lit le Hallel est un enfant, un esclave ou une femme [en l’absence de tout autre officiant], on répète mot pour mot ce qu'il dit pour tout le Hallel. Ceci était la première coutume, qu’il convient de suivre. Cependant, à l'époque actuelle, j'ai vu dans tous les endroits des coutumes différentes concernant la lecture, la prononciation de Amen et aucune d'entre elles ne ressemble à l'autre.
1. A l'époque du Second Temple, lorsque les rois de Grèce promulguèrent des décrets contre les juifs, abrogèrent leur foi, ne les laissèrent pas s'investir dans la Thora et les commandements, s'en prirent à leur argent et à leurs filles, entrèrent dans le Temple, y firent des brèches, et rendirent impur ce qui était pur, les juifs étaient une grande détresse ; ils [les grecs] les opprimèrent, jusqu'à ce que le D.ieu de nos pères les pris en pitié, et que les hommes de la maison de ‘Hachmonaï, les grands prêtres, les tuèrent [les grecs] et sauvèrent les juifs de leur main. Ils établirent un roi issu des prêtres et la royauté fut de nouveau instituée parmi Israël pour plus de deux cents ans, jusqu'à la destruction du second [Temple].
2. Lorsque les juifs, prirent le dessus sur leurs ennemis et les éliminèrent le 25 Kislev, ils entrèrent dans le Temple, et ne trouvèrent pas d'huile pure dans le Temple [pour allumer le candélabre], si ce n'est une fiole qui ne pouvait durer qu'un jour ; ils allumèrent avec elle les lumières de la rangée [de lampes] pendant huit jours, le temps de piler des olives et produire de l'huile pure.
3. Pour cela, les sages de cette génération ont institué que ces huit jours, qui commencent le 25 Kislev, soient des jours de joie et de louange. On allume des lampes le soir devant les portes des maisons chacune de ces huit nuits pour montrer et faire connaître le miracle. Ces jours sont appelés Hannouca, et il est interdit [pendant ces huit jours] de prononcer une oraison funèbre et de jeûner, comme les jours de Pourim. L'allumage des lampes est un commandement d'ordre rabbinique, comme la lecture de la méguila.
4. Quiconque est astreint à la lecture de la méguila est astreint à l'allumage de la lampe de ‘Hannouca. Celui qui l’allume le premier soir récite trois bénédictions qui sont: “Béni Tu es, Eterne-l notre D.ieu, Roi de l'univers, Qui nous as sanctifiés et nous a ordonné d'allumer la lampe de ‘Hannouca”, “Qui a fait des miracles pour nos pères, etc.”, et “Qui nous a fait vivre et subsister, etc.”. Celui qui la voit [la lampe de Hannouca et n'a pas encore récité la bénédiction récite deux bénédictions: “Qui a fait des miracles pour nos pères” et “Qui nous a fait vivre”. Les autres nuits, celui qui allume récite deux bénédictions, et celui qui voit [la lampe] récite une bénédiction, car on ne récite “Qui nous fait vivre” que la première nuit.
5. Chacun de ces huit jours, on lit le Hallel complet, et on récite avant la bénédiction: “Qui nous a sanctifié par Ses commandements et nous a ordonné de lire le Hallel complet”, [ceci est valable pour] un particulier comme [pour] la communauté. Bien que la lecture du Hallel soit un commandement d'ordre rabbinique, on récite la bénédiction: “Qui nous a sanctifié par Ses commandements et nous a ordonné”, comme l'on récite une bénédiction pour la méguila et pour le érouv. [On y mentionne « D.ieu nous a ordonné » bien que cela ait été institué par les sages,] car pour toute institution d'ordre rabbinique qui n'est pas fondée sur un doute, on récite une bénédiction. Par contre, pour ce qui est d'ordre rabbinique, et dont le fondement est un doute, comme la dîme du demaï, on ne récite pas de bénédiction. Et pourquoi récite-t-on une bénédiction pour le second jour de fête alors qu'il fut institué [par les sages] du fait d'un doute? Afin de ne pas le traiter avec mépris.
6. Ce n'est pas seulement le Hallel de Hannouca qui est d'ordre rabbinique. Plutôt, la lecture du Hallel est toujours d'ordre rabbinique tous les jours où l'on lit le Hallel complet. Dix-huit jours dans l'année, il est une mitsva de lire le Hallel complet. Les voici: les huit jours de Souccot, les huit jours de Hannouca, le premier jour de Pessa'h et le jour de Chavouôt. Par contre, Roch Hachana et le jour de Kippour, on ne lit pas le Hallel parce que ce sont des jours de repentir, de crainte et d'effroi et non des jours de grande joie. Ils [les sages] n'ont pas institué la lecture du Hallel à Pourim car la lecture de la méguila est elle-même [considérée comme] le Hallel.
7. Dans les endroits où l'on pratique deux jours de fête, on lit le Hallel complet 21 jours: les neuf jours de Souccot, les huit jours de Hannouca, les deux [premiers] jours de Pessa'h, et les deux jours de Chavouôt. Par contre Roch Hodech, la lecture du Hallel est une coutume et non un commandement. Cette coutume se pratique en communauté. C'est pourquoi on lit en sautant [des passages]. On ne récite pas de bénédiction car on ne récite pas de bénédiction pour une coutume. Et un particulier ne doit pas le réciter [le Hallel un jour de Roch Hodech]. [Néanmoins,] s'il commence, il termine et lit en sautant [des passages] comme on lit en communauté. Et de même, pour les autres jours de Pessa'h, on lit en sautant [des passages] comme pour Roch Hodech.
8. Comment saute-t-on [des passages]? On commence depuis le début du Hallel jusqu'à “Halamich lemayno maïm”, on saute [le passage suivant] et on récite [le passage qui commence par:] “Hachem, zekharanou, etc.” jusqu'à “Hallelouy-a”. Puis, on saute [le passage suivant] et on dit [le passage qui commence par:] “Ma achiv lHachem” jusqu'à “Hallalouy-a”, on saute [le passage suivant] et on récite [le passage qui commence par:] “Min hamétsar karati Y-a” jusqu'à la fin du Hallel. Ceci est la coutume ordinaire. Certains sautent [des passages] à d'autres endroits.
9. Toute la journée convient pour la lecture du Hallel. Et celui qui lit le Hallel sans en suivre l'ordre n'est pas quitte. S'il lit, attend, puis continue à lire, même s'il attend un temps équivalent à celui nécessaire pour terminer tout [le Hallel], il est quitte. Les jours où l'on lit le Hallel complet, on peut s'interrompre entre un chapitre et un autre, mais non au milieu d'un chapitre. Et les jours où on lit [le Hallel] en sautant, on peut s'interrompre même au milieu d'un chapitre.
10. Tous les jours où l'on lit le Hallel complet, on récite au préalable une bénédiction. Et dans un lieu où il est de coutume de réciter une bénédiction après [la lecture], on récite une bénédiction. Quelle bénédiction récite-t-on [après la lecture]? “Que soient bénis, Eterne-l notre D.ieu, toutes Tes actions, les justes et les pieux qui accomplissent Ta volonté, et tout Ton peuple Israël dans le chant sera reconnaissant envers Ton Nom. Car Toi, ô D.ieu, il est bon de Te louer, et il convient de chanter à Ton Nom, du monde au monde, Tu es D.ieu. Béni Tu es, ô D.ieu, le Roi Qui est loué, Qui est béni, Qui est majestueux, Qui subsiste éternellement, et Qui régnera à jamais”.
11. Il y a des endroits où il est de coutume de lire deux fois [chaque verset] depuis “Odekha ki anitani” jusqu'à la fin du Hallel. Dans un lieu où il est de coutume de répéter, on le fait. Et dans un lieu où il est de coutume de ne pas répéter, on ne le fait pas.
12. Telle était la coutume de la lecture du Hallel à l'époque des premiers sages: après que le plus éminent, qui lit le Hallel, ait récité la bénédiction, il commence et dit “Hallelouy-a” et tout le monde répond “Hallelouy-a”. Puis, il continue et dit: “Hallelou Avdei Hachem” et tout le monde répond “Hallelouy-a”. Il continue et dit: “Hallelou ete chem Hachem” et tout le monde répond “Hallelouy-a”. Puis, il recommence et dit: “Yehi Chêm Hachem Mev'orakh Méata Véad Olam” et tout le monde répond “Hallelouy-a”. Et de même pour chaque expression, de sorte qu'ils [les fidèles] répondent 123 fois “Hallelouy-a” dans tout le Hallel. Le signe mnémotechnique [en] est les années [de la vie] d'Aaron.
13. De plus, lorsque celui qui lit arrive au début de chaque passage, ils répètent ce qu'il dit. Comment [cela s'applique-t-il]? Lorsqu'il dit: “Betset Israël Mimitsraïm”, tout le monde répond, “Betset Israël Mimitsraïm”. Celui qui officie dit “Beit Yaakov Méam Loëz” et tout le monde répond “Hallelouy-a” jusqu'à ce qu'il dise “Ahavti ki ychma Hachem ete koli ta'hanounaï”, et tout le monde reprend et dit: “Ahavti ki ychma Hachem, etc.” Et de même, lorsque celui qui officie dit: “Hallelou ete Hachem kol goyim”, tout le monde répète “Hallelou ete Hachem kol goyim”.
14. Celui qui officie dit: “Ana Hachem hochia na” et ils répondent après lui: “Ana Hachem hochia na”, bien que cela ne soit pas le début d'un [nouveau] passage. Il [celui qui officie] dit: “Ana Hachem hatsli'ha na”, et ils répondent “ana Hachem hatsli'ha na”. Il dit: “Baroukh haba“ et tout le monde répond “baroukh haba”. Et si celui qui lit le Hallel est un enfant, un esclave ou une femme [en l’absence de tout autre officiant], on répète mot pour mot ce qu'il dit pour tout le Hallel. Ceci était la première coutume, qu’il convient de suivre. Cependant, à l'époque actuelle, j'ai vu dans tous les endroits des coutumes différentes concernant la lecture, la prononciation de Amen et aucune d'entre elles ne ressemble à l'autre.