Sefer Hamitsvot
Notons que bon nombre de ces lois ne sont pas la halakha, c'est-à-dire la pratique observée dans les communautés juives. Elles ne sauraient donc en aucun cas être prises comme référence. Veuillez noter également que cette version est un premier essai qui fera l'objet de corrections ultérieures.
9 Iyar 5781 / 04.21.2021
Cours N° 286
Mitsva positive N° 196 :
Il s'agit du commandement nous incombant de faire des présents à l'esclave hébreu (Eved Ivri) et de l'aider au moment de sa libération, de manière qu'il ne parte pas les mains vides. Ce commandement est tiré du verset, gloire soit rendue à l'Eternel: "Mais donne lui des présents de ton menu bétail, de ta grange et de ton pressoir, ce dont l'Eternel t'aura favorisé fais-lui en part".
Les dispositions relatives à ce commandement ont été expliquées dans le premier chapitre de Kiddouchin.
Mitsva négative N° 233 :
Il nous est interdit de renvoyer, les mains vides, un esclave hébreu (Eved Ivri) lorsque nous le libérons après qu'il nous a servis pendant six ans; au contraire, nous sommes tenus de lui accorder des gratifications en nature, prises sur nos biens. La Torah énonce cette prohibition en ces termes: "Or, en libérant cet esclave de ton service, ne le renvoie pas les mains vides".
Les dispositions relatives à ce commandement, c'est-à-dire celui concernant les gratifications [à accorder à l'esclave hébreu], sont exposées au début du Traité Kiddouchin.
Mitsva positive N° 234 :
C'est le commandement nous incombant en ce qui concerne le rachat de la servante juive, comme il est dit: "Il la laissera s'affranchir".
Ce devoir du rachat comprend plusieurs règles, conditions et dispositions. Tout cela est expliqué dans le Traité Kiddouchin et on y explique entièrement la loi du rachat de l'esclave juive.
Dans la Mekhilta, le verset "Et il n'accomplit pas ces trois devoirs envers elle", relatif à l'esclave juive, est commenté dans ce sens que [ces trois devoir sont] que "[son maître doit] soit l'épouser, soit la donner pour femme à son fils, soit la laisser s'affranchir".
Mitsva positive N° 233 :
C'est le commandement qui nous incombe et selon lequel la servante juive doit être épousée soit par son maître soit par le fils de ce dernier. C'est le commandement concernant le devoir de destiner au mariage [une esclave juive]. Nos Maîtres disent à ce sujet: "Le commandement de l'épouser prime sur le devoir de l'affranchir, car l'Eternel a dit: "S'il ne la réserve pas pour lui, il la laissera s'affranchir". Sache que cette loi de l'esclave hébreu et de la servante juive n'a force de loi que quand la loi du Jubilé est en vigueur.
Les dispositions relatives à ce commandement ont été expliquées dans le premier chapitre du Traité Kiddouchin.
Mitsva négative N° 261 :
Il est interdit à celui qui a fait l'acquisition d'une servante juive de la vendre à autrui, ainsi qu'il est dit: "Il n'aura pas le pouvoir de la vendre à une famille étrangère, après l'avoir déçue".
Les dispositions relatives à ce commandement sont exposées entièrement au début de Kiddouchin.
Il s'agit du commandement nous incombant de faire des présents à l'esclave hébreu (Eved Ivri) et de l'aider au moment de sa libération, de manière qu'il ne parte pas les mains vides. Ce commandement est tiré du verset, gloire soit rendue à l'Eternel: "Mais donne lui des présents de ton menu bétail, de ta grange et de ton pressoir, ce dont l'Eternel t'aura favorisé fais-lui en part".
Les dispositions relatives à ce commandement ont été expliquées dans le premier chapitre de Kiddouchin.
Mitsva négative N° 233 :
Il nous est interdit de renvoyer, les mains vides, un esclave hébreu (Eved Ivri) lorsque nous le libérons après qu'il nous a servis pendant six ans; au contraire, nous sommes tenus de lui accorder des gratifications en nature, prises sur nos biens. La Torah énonce cette prohibition en ces termes: "Or, en libérant cet esclave de ton service, ne le renvoie pas les mains vides".
Les dispositions relatives à ce commandement, c'est-à-dire celui concernant les gratifications [à accorder à l'esclave hébreu], sont exposées au début du Traité Kiddouchin.
Mitsva positive N° 234 :
C'est le commandement nous incombant en ce qui concerne le rachat de la servante juive, comme il est dit: "Il la laissera s'affranchir".
Ce devoir du rachat comprend plusieurs règles, conditions et dispositions. Tout cela est expliqué dans le Traité Kiddouchin et on y explique entièrement la loi du rachat de l'esclave juive.
Dans la Mekhilta, le verset "Et il n'accomplit pas ces trois devoirs envers elle", relatif à l'esclave juive, est commenté dans ce sens que [ces trois devoir sont] que "[son maître doit] soit l'épouser, soit la donner pour femme à son fils, soit la laisser s'affranchir".
Mitsva positive N° 233 :
C'est le commandement qui nous incombe et selon lequel la servante juive doit être épousée soit par son maître soit par le fils de ce dernier. C'est le commandement concernant le devoir de destiner au mariage [une esclave juive]. Nos Maîtres disent à ce sujet: "Le commandement de l'épouser prime sur le devoir de l'affranchir, car l'Eternel a dit: "S'il ne la réserve pas pour lui, il la laissera s'affranchir". Sache que cette loi de l'esclave hébreu et de la servante juive n'a force de loi que quand la loi du Jubilé est en vigueur.
Les dispositions relatives à ce commandement ont été expliquées dans le premier chapitre du Traité Kiddouchin.
Mitsva négative N° 261 :
Il est interdit à celui qui a fait l'acquisition d'une servante juive de la vendre à autrui, ainsi qu'il est dit: "Il n'aura pas le pouvoir de la vendre à une famille étrangère, après l'avoir déçue".
Les dispositions relatives à ce commandement sont exposées entièrement au début de Kiddouchin.