Sefer Hamitsvot
Notons que bon nombre de ces lois ne sont pas la halakha, c'est-à-dire la pratique observée dans les communautés juives. Elles ne sauraient donc en aucun cas être prises comme référence. Veuillez noter également que cette version est un premier essai qui fera l'objet de corrections ultérieures.
29 Chevat 5781 / 02.11.2021
Cours N° 217
Mitsva positive N° 104 :
Il s'agit du commandement qui nous a été enjoint concernant un homme atteint de flux. Ce commandement comprend toutes les lois relatives aux symptômes d'un homme atteint de flux et de quelle manière il rend les autres impurs.
Mitsva positive N° 96 :
Il s'agit du commandement qui nous a été ordonné au sujet de l'impureté transmise par le cadavre des animaux. Ce commandement comprend l'impureté due au cadavre d'un animal et toutes les règles relatives à celle-ci.
Je te rappelle, en guise d'introduction, ce qu'il faut avoir en mémoire au sujet de tout ce qui sera cité plus loin à propos des impuretés: si nous comptons comme commandements positifs les différentes catégories d'impureté, cela ne signifie évidemment pas que nous devons nous souiller [à leur contact] ni qu'il nous soit interdit de les toucher de sorte qu'il s'agirait d'un commandement négatif. Au contraire, [ce que nous voulons dire, c'est que] la Torah déclare que celui qui entre en contact avec telle ou telle catégorie [d'impureté] devient impur ou bien que tel objet rend impur de telle manière celui qui entre en contact avec lui; tout cela constitue un commandement positif. En d'autres termes: cette loi que nous sommes tenus d'observer est un commandement, en vertu duquel nous devons déclarer impur celui qui entre en contact avec telle chose de telle manière, mais si c'est d'une autre manière, il ne devient pas impur. Le fait de devenir effectivement impur constitue un choix: celui qui le veut devient impur, sinon il ne le devient pas.
Le Sifra s'exprime ainsi: "Vous ne toucherez point à leur cadavre: un homme qui a touché un cadavre d'animal est-il passible de la bastonnade? La Torah précise: Ceux qui suivent vous rendront impurs. Est-ce à dire que celui qui voit un cadavre d'animal doit y toucher et en devenir impur? Evidemment non, puisque la Torah dit: Vous ne toucherez pas à leur cadavre. Comment concilier ces deux textes? On ne peut que répondre qu'il s'agit d'une chose facultative".
C'est pourquoi le commandement consiste en ces prescriptions qui nous ont été données: celui qui y touche devient impur et est donc soumis à toutes les prescriptions des personnes impures: être exclu du camp de la Présence divine, ne pas consommer de choses consacrées, ni y toucher et autres choses analogues. Voilà en quoi consiste le commandement: celui qui devient impur en touchant telle chose ou en se trouvant dans sa proximité de manière définie. Il faut garder cela en mémoire à propos de toutes les sortes d'impureté.
Il s'agit du commandement qui nous a été enjoint concernant un homme atteint de flux. Ce commandement comprend toutes les lois relatives aux symptômes d'un homme atteint de flux et de quelle manière il rend les autres impurs.
Mitsva positive N° 96 :
Il s'agit du commandement qui nous a été ordonné au sujet de l'impureté transmise par le cadavre des animaux. Ce commandement comprend l'impureté due au cadavre d'un animal et toutes les règles relatives à celle-ci.
Je te rappelle, en guise d'introduction, ce qu'il faut avoir en mémoire au sujet de tout ce qui sera cité plus loin à propos des impuretés: si nous comptons comme commandements positifs les différentes catégories d'impureté, cela ne signifie évidemment pas que nous devons nous souiller [à leur contact] ni qu'il nous soit interdit de les toucher de sorte qu'il s'agirait d'un commandement négatif. Au contraire, [ce que nous voulons dire, c'est que] la Torah déclare que celui qui entre en contact avec telle ou telle catégorie [d'impureté] devient impur ou bien que tel objet rend impur de telle manière celui qui entre en contact avec lui; tout cela constitue un commandement positif. En d'autres termes: cette loi que nous sommes tenus d'observer est un commandement, en vertu duquel nous devons déclarer impur celui qui entre en contact avec telle chose de telle manière, mais si c'est d'une autre manière, il ne devient pas impur. Le fait de devenir effectivement impur constitue un choix: celui qui le veut devient impur, sinon il ne le devient pas.
Le Sifra s'exprime ainsi: "Vous ne toucherez point à leur cadavre: un homme qui a touché un cadavre d'animal est-il passible de la bastonnade? La Torah précise: Ceux qui suivent vous rendront impurs. Est-ce à dire que celui qui voit un cadavre d'animal doit y toucher et en devenir impur? Evidemment non, puisque la Torah dit: Vous ne toucherez pas à leur cadavre. Comment concilier ces deux textes? On ne peut que répondre qu'il s'agit d'une chose facultative".
C'est pourquoi le commandement consiste en ces prescriptions qui nous ont été données: celui qui y touche devient impur et est donc soumis à toutes les prescriptions des personnes impures: être exclu du camp de la Présence divine, ne pas consommer de choses consacrées, ni y toucher et autres choses analogues. Voilà en quoi consiste le commandement: celui qui devient impur en touchant telle chose ou en se trouvant dans sa proximité de manière définie. Il faut garder cela en mémoire à propos de toutes les sortes d'impureté.