POURIM
. Dans la Meguila, on lit:
- (8, 11): "Laharog Ouleabed Velaharog Ouleabed", "tuer et détruire - et tuer et détruire".
- (9, 2): "Veich Lo Amad Bifneïhem. Veich Lo Amad Lifneïhem", "et nul se tint face à eux - et nul ne se tint devant eux".
(La tradition retient, en effet, ces deux versions et toutes deux étaient lues dans la synagogue du 'Hatam Sofer, qui alla même jusqu'à les écrire dans sa Meguila.)
. En disant "Haigueret Hazot", "cette missive", "Igueret Hapourim Hazot Hachenit", "cette seconde missive de Pourim", on secoue la Meguila.
. Dans le texte de Chochanat Yaacov (Sidour p.340), "Brou'him Kol Hatsaddikim", "bénis soient tous les Justes" (et ce bien qu'il semble que ce texte ait été modifié à cause de la censure. Ce point doit cependant être approfondi).
. Chehe'hyanou est dit également le jour (conformément à la décision hala'hique prise par le Tséma'h Tsédek).
. Dans la Meguila qu'écrivit mon grand-père (le Rabbi Maharach), le nom des dix fils de Haman n'était pas écrit sur une seule page. De même toutes les pages ne commençaient pas par le mot "Hamele'h", le roi.
. Dans Torah Or, dans le commentaire introduit par "Vehine Be'hinat Levouch", il faut lire: «...............HEBREU ...........ceci est le niveau de "Panaï", Ma face, et celle-ci se cache car elle découle de Atik, de Stima De'hol Stimin, la partie la plus cachée».
. Il existe une autre version:
...........HEBREU..........En fait, "ce jour-là" fait allusion à Bina, la "Mère supérieure", qui réside dans Bria, dans le Trône céleste. Ainsi, Mal'hout d'Atsilout est la source de Bria. Elle est séparée, plus haute que Bria et ne peut s'y dévoiler. Même par rapport à "ce jour-là", elle est cachée et voilée. Quant aux mots "Je voilerai Ma face", ils font allusion à Mal'hout d'Atsilout car elle reçoit de toutes les dix Sefirot. De Mal'hout de Keter d'Atsilout découle Keter Mal'hout et de Mal'hout incluse dans 'Ho'hma, découle 'Ho'hma incluse dans Mal'hout.
Hayom yom
14 Adar Cheni 5782 / 03.17.2022
Houmach : Richon de Tsav avec Rachi
Tanya : Zot Veod... Veha'houmri (p.94)