Sefer Hamitsvot
Notons que bon nombre de ces lois ne sont pas la halakha, c'est-à-dire la pratique observée dans les communautés juives. Elles ne sauraient donc en aucun cas être prises comme référence. Veuillez noter également que cette version est un premier essai qui fera l'objet de corrections ultérieures.
28 Kislev 5785 / 12.29.2024
Cours N° 278
Mitsva positive N° 236 :
C'est le commandement qui nous a été enjoint en ce qui concerne la loi de celui qui blesse son prochain, comme il est dit: "Si des hommes se prennent de querelle et que l'un frappe l'autre..." C'est ce que l'on appelle les lois des indemnités d'après le verset de la Torah comprenant toutes les lois relatives aux indemnités: "Comme il a agi lui-même, on agira à son égard". Cela signifie qu'on lui prend en argent une valeur équivalant au tort causé à son prochain ainsi que l'ordonne la Tradition: même s'il lui a seulement fait honte, il devra payer une indemnité correspondant au tort ainsi causé. Sache que ces lois concernant les indemnités s'appliquent toutes aux dommages causés par un homme à un autre homme. S'il s'agit d'un dommage causé par une bête à un homme ou à un autre animal, ces lois ne sont pas applicables. Dans ce cas, seul un tribunal ayant reçu son ordination dans le pays [d'Israël] peut juger l'affaire.
Les dispositions relatives à ce commandement ont été expliquées dans le chapitre 8 de [Baba] Kama.
C'est le commandement qui nous a été enjoint en ce qui concerne la loi de celui qui blesse son prochain, comme il est dit: "Si des hommes se prennent de querelle et que l'un frappe l'autre..." C'est ce que l'on appelle les lois des indemnités d'après le verset de la Torah comprenant toutes les lois relatives aux indemnités: "Comme il a agi lui-même, on agira à son égard". Cela signifie qu'on lui prend en argent une valeur équivalant au tort causé à son prochain ainsi que l'ordonne la Tradition: même s'il lui a seulement fait honte, il devra payer une indemnité correspondant au tort ainsi causé. Sache que ces lois concernant les indemnités s'appliquent toutes aux dommages causés par un homme à un autre homme. S'il s'agit d'un dommage causé par une bête à un homme ou à un autre animal, ces lois ne sont pas applicables. Dans ce cas, seul un tribunal ayant reçu son ordination dans le pays [d'Israël] peut juger l'affaire.
Les dispositions relatives à ce commandement ont été expliquées dans le chapitre 8 de [Baba] Kama.