Lettre n° 7091
Par la grâce de D.ieu,
25 Mar’hechvan 5720,
Brooklyn,
Je vous bénis et vous salue,
J’ai bien reçu votre lettre du 11 Mar’hechvan, dans laquelle vous me décrivez ce qui vous est arrivé. Vous me dites que, pour l’heure, vous n’êtes pas encore fiancée. S’agissant des événements malencontreux qui sont survenus, de par le passé, vous connaissez l’enseignement de notre Torah, Torah de vie selon lequel un homme peut corriger et améliorer son comportement à l’avenir. Et, le regret sincère du passé doit être accompagné par une bonne décision, pour l’avenir. En outre, s’agissant du mariage, deux autres points doivent être pris en compte :
A) Vous devez adopter la résolution, avec la détermination qui convient, de mener votre foyer, après votre mariage, de la manière qui sied à une femme juive, descendante de Sarah, Rivka, Ra’hel et Léa. Vous respecterez donc la pureté familiale, le Chabbat, la Cacherout et vous mettrez concrètement ces Préceptes en pratique. De la sorte, D.ieu vous permettra de trouver le parti qui vous convient, à la fois matériellement et spirituellement.
B) Il faut admettre la vérité telle qu’elle est, comprendre que la perfection n’existe pas dans ce monde. Il n’y a donc pas lieu de rechercher minutieusement les défauts de ceux qui vous sont présentés. Bien plus, vous devez vous dire que celle qui recherche n’est pas parfaite non plus. Si l’on observe les Juifs avec bienveillance, si l’on prend en compte l’essentiel, les bons sentiments, le comportement droit, qui est celui de la Torah et des Mitsvot, on n’accordera qu’un rôle secondaire à ce qui est accessoire et on ne lui prêtera pas une valeur démesurée. Si l’essentiel est présent, il y a donc lieu de signifier son accord. Après tout cela, il serait bon, chaque jour de semaine, le matin, que vous préleviez quelques pièces pour la Tsédaka, jusqu’à votre mariage. Et, vous vous marierez en un moment bon et fructueux. Avec ma bénédiction pour donner de bonnes nouvelles de tout cela,
Pour le Rabbi Chlita,
le secrétaire,
25 Mar’hechvan 5720,
Brooklyn,
Je vous bénis et vous salue,
J’ai bien reçu votre lettre du 11 Mar’hechvan, dans laquelle vous me décrivez ce qui vous est arrivé. Vous me dites que, pour l’heure, vous n’êtes pas encore fiancée. S’agissant des événements malencontreux qui sont survenus, de par le passé, vous connaissez l’enseignement de notre Torah, Torah de vie selon lequel un homme peut corriger et améliorer son comportement à l’avenir. Et, le regret sincère du passé doit être accompagné par une bonne décision, pour l’avenir. En outre, s’agissant du mariage, deux autres points doivent être pris en compte :
A) Vous devez adopter la résolution, avec la détermination qui convient, de mener votre foyer, après votre mariage, de la manière qui sied à une femme juive, descendante de Sarah, Rivka, Ra’hel et Léa. Vous respecterez donc la pureté familiale, le Chabbat, la Cacherout et vous mettrez concrètement ces Préceptes en pratique. De la sorte, D.ieu vous permettra de trouver le parti qui vous convient, à la fois matériellement et spirituellement.
B) Il faut admettre la vérité telle qu’elle est, comprendre que la perfection n’existe pas dans ce monde. Il n’y a donc pas lieu de rechercher minutieusement les défauts de ceux qui vous sont présentés. Bien plus, vous devez vous dire que celle qui recherche n’est pas parfaite non plus. Si l’on observe les Juifs avec bienveillance, si l’on prend en compte l’essentiel, les bons sentiments, le comportement droit, qui est celui de la Torah et des Mitsvot, on n’accordera qu’un rôle secondaire à ce qui est accessoire et on ne lui prêtera pas une valeur démesurée. Si l’essentiel est présent, il y a donc lieu de signifier son accord. Après tout cela, il serait bon, chaque jour de semaine, le matin, que vous préleviez quelques pièces pour la Tsédaka, jusqu’à votre mariage. Et, vous vous marierez en un moment bon et fructueux. Avec ma bénédiction pour donner de bonnes nouvelles de tout cela,
Pour le Rabbi Chlita,
le secrétaire,