Lettre n° 6216
Par la grâce de D.ieu,
3 Iyar 5718,
Brooklyn,
Je vous salue et vous bénis,
A) Je fais réponse à votre lettre de la veille du Chabbat, dans laquelle vous me dites que vous avez des difficultés pour gagner votre vie, ce qui a une influence sur votre état de santé. En effet, vous êtes très occupé depuis tôt, le matin jusqu’à tard le soir. Vous devez donc trouver un associé convenable. Si les recettes de votre magasin, pour l’instant, ne le permettent pas, il est d’usage que le nouvel associé fasse un apport de fonds afin de développer l’affaire. De la sorte, les bénéfices augmenteront et, peu à peu, vous pourrez organiser vos heures de travail, dans votre magasin, afin de vous autoriser quelques temps de repos et pour que le travail soit plus aisé. Bien entendu, il est essentiel que cet associé ait un contact facile.
B) Vous faites également référence à votre situation morale. Vous n’êtes pas pratiquant et vous m’en donnez les raisons. Vous ne mettez même pas les Tefillin car, selon votre expression, vous n’en avez pas le temps, étant très occupé. Une réflexion sommaire vous montrera que la fin de votre lettre contredit son début. En effet, le port des Tefillin est une Mitsva, édictée par le Créateur du monde, Qui le dirige et Qui a promis une grande récompense, une immense bénédiction à ceux qui respectent cette pratique. Or, au début de votre lettre, vous soulignez que vous avez besoin d’une bénédiction et d’une réussite accrue. Puis, par la suite, vous m’écrivez que vous ne respectez pas cette Mitsva essentielle, permettant d’obtenir les bénédictions de D.ieu en tout ce dont on a besoin. Bien plus, vous ajoutez que vous n’avez pas le temps de le faire, car vous êtes occupé par vos affaires. Vous pourriez, de la même façon, m’écrire que vous n’avez pas le temps de gagner votre vie, car vous êtes préoccupé par le fait que vous ne gagnez pas bien votre vie.
Quelles que soient les raisons de cette situation, du fait que, jusqu’à ce jour, vous n’avez pas été un Juif pratiquant, cela ne justifie nullement que vous adoptiez le même comportement, pour l’avenir. Bien évidemment, les conséquences de cette attitude, c’est-à-dire le manque de bénédictions que D.ieu vous accorde, de réussite dans votre vie, perdureraient. En conséquence, vous devez immédiatement vous conformer, au quotidien, de même que votre épouse, aux exigences de notre Torah, Torah de vie. Il vous faut d’abord renforcer votre confiance en le Créateur du monde, Qui le dirige, en fonction de ce qu’Il dit dans Sa Torah : “ Si vous marchez dans Mes Décrets et si vous gardez Mes Mitsvot, Je donnerai vos pluies… ” et toutes les bénédictions qui sont mentionnées dans cette Paracha. D’après ce qui vient d’être dit, vous commencerez immédiatement à mettre les Tefillin, chaque jour de semaine. Bien entendu, celles-ci seront vérifiées, afin qu’on soit certain de leur validité. Dans l’attente de bonnes nouvelles de tout cela,
Pour le Rabbi Chlita,
le secrétaire,
3 Iyar 5718,
Brooklyn,
Je vous salue et vous bénis,
A) Je fais réponse à votre lettre de la veille du Chabbat, dans laquelle vous me dites que vous avez des difficultés pour gagner votre vie, ce qui a une influence sur votre état de santé. En effet, vous êtes très occupé depuis tôt, le matin jusqu’à tard le soir. Vous devez donc trouver un associé convenable. Si les recettes de votre magasin, pour l’instant, ne le permettent pas, il est d’usage que le nouvel associé fasse un apport de fonds afin de développer l’affaire. De la sorte, les bénéfices augmenteront et, peu à peu, vous pourrez organiser vos heures de travail, dans votre magasin, afin de vous autoriser quelques temps de repos et pour que le travail soit plus aisé. Bien entendu, il est essentiel que cet associé ait un contact facile.
B) Vous faites également référence à votre situation morale. Vous n’êtes pas pratiquant et vous m’en donnez les raisons. Vous ne mettez même pas les Tefillin car, selon votre expression, vous n’en avez pas le temps, étant très occupé. Une réflexion sommaire vous montrera que la fin de votre lettre contredit son début. En effet, le port des Tefillin est une Mitsva, édictée par le Créateur du monde, Qui le dirige et Qui a promis une grande récompense, une immense bénédiction à ceux qui respectent cette pratique. Or, au début de votre lettre, vous soulignez que vous avez besoin d’une bénédiction et d’une réussite accrue. Puis, par la suite, vous m’écrivez que vous ne respectez pas cette Mitsva essentielle, permettant d’obtenir les bénédictions de D.ieu en tout ce dont on a besoin. Bien plus, vous ajoutez que vous n’avez pas le temps de le faire, car vous êtes occupé par vos affaires. Vous pourriez, de la même façon, m’écrire que vous n’avez pas le temps de gagner votre vie, car vous êtes préoccupé par le fait que vous ne gagnez pas bien votre vie.
Quelles que soient les raisons de cette situation, du fait que, jusqu’à ce jour, vous n’avez pas été un Juif pratiquant, cela ne justifie nullement que vous adoptiez le même comportement, pour l’avenir. Bien évidemment, les conséquences de cette attitude, c’est-à-dire le manque de bénédictions que D.ieu vous accorde, de réussite dans votre vie, perdureraient. En conséquence, vous devez immédiatement vous conformer, au quotidien, de même que votre épouse, aux exigences de notre Torah, Torah de vie. Il vous faut d’abord renforcer votre confiance en le Créateur du monde, Qui le dirige, en fonction de ce qu’Il dit dans Sa Torah : “ Si vous marchez dans Mes Décrets et si vous gardez Mes Mitsvot, Je donnerai vos pluies… ” et toutes les bénédictions qui sont mentionnées dans cette Paracha. D’après ce qui vient d’être dit, vous commencerez immédiatement à mettre les Tefillin, chaque jour de semaine. Bien entendu, celles-ci seront vérifiées, afin qu’on soit certain de leur validité. Dans l’attente de bonnes nouvelles de tout cela,
Pour le Rabbi Chlita,
le secrétaire,