Lettre n° 4373
Par la grâce de D.ieu,
25 Iyar 5716,
Brooklyn,
Je vous salue et vous bénis,
Je fais réponse à votre lettre du jour lumineux de Lag Baomer, Hilloula de Rabbi Chimeon Ben Yo’haï, dans laquelle vous me décrivez votre état de santé et ce qui en résulte pour votre étude. Vous êtes suivi par des médecins spécialistes, dont vous me transmettez les prescriptions, auxquelles il convient effectivement de se conformer.
Puisse D.ieu faire que s’accomplisse en vous la promesse de nos Sages selon laquelle “ la Torah a autorisé le médecin à guérir ”. C’est grâce à cela que le traitement peut être adapté et efficace. Concernant l’étude, vous pouvez faire en sorte qu’elle soit moins approfondie, pendant un certain temps. Vous verrez quel effet cela aura sur vous.
Vous me faites part de votre désarroi moral et il est bien évident qu’il y a là une intervention et un stratagème du mauvais penchant, destinés à empêcher l’homme d’assumer la mission qui lui est confiée dans le monde, c’est-à-dire, selon les termes de la Michna, “ J’ai été créé pour servir mon Créateur ”, ce qui est possible uniquement d’une manière joyeuse.
Comme le dit le grand Maître, le Rambam, à la fin des lois du Loulav, en des termes merveilleux et impressionnants, que vous consulterez, en les appliquant à votre propre personne, “ ainsi, vous vous réjouirez, d’une joie véritable, ainsi qu’il est dit : ‘En toutes tes voies, reconnais-Le’ ”.
Cette joie et la manière de l’atteindre sont décrites dans le Tanya, que vous consulterez, à partir du chapitre 31. Cette forme du service de D.ieu raffermit la santé du corps, comme on peut le vérifier concrètement.
Avec ma bénédiction pour donner de bonnes nouvelles de tout cela et pour recevoir la Torah avec joie et profondément,
25 Iyar 5716,
Brooklyn,
Je vous salue et vous bénis,
Je fais réponse à votre lettre du jour lumineux de Lag Baomer, Hilloula de Rabbi Chimeon Ben Yo’haï, dans laquelle vous me décrivez votre état de santé et ce qui en résulte pour votre étude. Vous êtes suivi par des médecins spécialistes, dont vous me transmettez les prescriptions, auxquelles il convient effectivement de se conformer.
Puisse D.ieu faire que s’accomplisse en vous la promesse de nos Sages selon laquelle “ la Torah a autorisé le médecin à guérir ”. C’est grâce à cela que le traitement peut être adapté et efficace. Concernant l’étude, vous pouvez faire en sorte qu’elle soit moins approfondie, pendant un certain temps. Vous verrez quel effet cela aura sur vous.
Vous me faites part de votre désarroi moral et il est bien évident qu’il y a là une intervention et un stratagème du mauvais penchant, destinés à empêcher l’homme d’assumer la mission qui lui est confiée dans le monde, c’est-à-dire, selon les termes de la Michna, “ J’ai été créé pour servir mon Créateur ”, ce qui est possible uniquement d’une manière joyeuse.
Comme le dit le grand Maître, le Rambam, à la fin des lois du Loulav, en des termes merveilleux et impressionnants, que vous consulterez, en les appliquant à votre propre personne, “ ainsi, vous vous réjouirez, d’une joie véritable, ainsi qu’il est dit : ‘En toutes tes voies, reconnais-Le’ ”.
Cette joie et la manière de l’atteindre sont décrites dans le Tanya, que vous consulterez, à partir du chapitre 31. Cette forme du service de D.ieu raffermit la santé du corps, comme on peut le vérifier concrètement.
Avec ma bénédiction pour donner de bonnes nouvelles de tout cela et pour recevoir la Torah avec joie et profondément,