Lettre n° 1543
Par la grâce de D.ieu,
5 Iyar 5712,
Aux chers enfants du distingué ‘Hassid,
qui craint D.ieu, le Rav Moché Eliezer
et de son épouse, madame Ra’hel Elké
Creimer,
Je vous salue et vous bénis,
J’ai appris, par une lettre du distingué ‘Hassid qui craint D.ieu et se consacre aux besoins communautaires, aux multiples accomplissements, le Rav Avraham Dov Ber que l’anniversaire du décès de votre cher père sera ce soir. Puis, le 22 Iyar, ce sera celui de votre chère mère.
Je voudrais vous exprimer tout mon souhait et ma bénédiction pour que vous conserviez vivant le souvenir de vos parents, pour de longs jours et de bonnes années.
De façon générale, l’anniversaire d’un décès appelle deux sentiments. D’une part, l’âme du défunt reçoit une élévation, en ce jour, comme le disent nos livres sacrés. Elle accède alors à un stade spirituel plus haut, ce qui est cause de joie pour elle et pour tous ses proches, pour de longs jours et de bonnes années.
A l’opposé, l’anniversaire du décès commémore ici-bas la mémoire du défunt, ce qui induit le contraire de la joie.
Néanmoins, cet anniversaire ne devrait pas générer ici-bas le contraire de la joie, mais, bien au contraire, une sérieuse réflexion, une méditation et un bilan moral, afin de conformer sa propre vie, dans ce monde, à celle que connaît l’âme, là-haut. Cette dernière en effet, reçoit, d’année en année, des élévations successives et il doit donc en être de même, ici-bas, pour tous ceux qui lui sont liés. Ceux-là doivent aussi connaître un avancement perpétuel, pour tout ce qui concerne la Torah, la prière et les bonnes actions.
C’est de cette façon que l’on peut procurer à ceux qui ont quitté ce monde la plus grande satisfaction qui soit.
Tout cela met en évidence le pilier fondamental de notre foi, l’absence de la mort pour tout ce qui est lié à la sainteté, en général et pour les Juifs, en particulier. Seule existe la transition, d’un monde à l’autre. En conséquence, ceux qui ont, dans ce monde, une existence liée en permanence à la sainteté, à la Torah et aux Mitsvot, perçoivent ce passage comme une élévation, un avancement, d’abord dans ce monde matériel et ensuite, à l’issue de quelques étapes, dans le monde futur.
Avec ma bénédiction,
5 Iyar 5712,
Aux chers enfants du distingué ‘Hassid,
qui craint D.ieu, le Rav Moché Eliezer
et de son épouse, madame Ra’hel Elké
Creimer,
Je vous salue et vous bénis,
J’ai appris, par une lettre du distingué ‘Hassid qui craint D.ieu et se consacre aux besoins communautaires, aux multiples accomplissements, le Rav Avraham Dov Ber que l’anniversaire du décès de votre cher père sera ce soir. Puis, le 22 Iyar, ce sera celui de votre chère mère.
Je voudrais vous exprimer tout mon souhait et ma bénédiction pour que vous conserviez vivant le souvenir de vos parents, pour de longs jours et de bonnes années.
De façon générale, l’anniversaire d’un décès appelle deux sentiments. D’une part, l’âme du défunt reçoit une élévation, en ce jour, comme le disent nos livres sacrés. Elle accède alors à un stade spirituel plus haut, ce qui est cause de joie pour elle et pour tous ses proches, pour de longs jours et de bonnes années.
A l’opposé, l’anniversaire du décès commémore ici-bas la mémoire du défunt, ce qui induit le contraire de la joie.
Néanmoins, cet anniversaire ne devrait pas générer ici-bas le contraire de la joie, mais, bien au contraire, une sérieuse réflexion, une méditation et un bilan moral, afin de conformer sa propre vie, dans ce monde, à celle que connaît l’âme, là-haut. Cette dernière en effet, reçoit, d’année en année, des élévations successives et il doit donc en être de même, ici-bas, pour tous ceux qui lui sont liés. Ceux-là doivent aussi connaître un avancement perpétuel, pour tout ce qui concerne la Torah, la prière et les bonnes actions.
C’est de cette façon que l’on peut procurer à ceux qui ont quitté ce monde la plus grande satisfaction qui soit.
Tout cela met en évidence le pilier fondamental de notre foi, l’absence de la mort pour tout ce qui est lié à la sainteté, en général et pour les Juifs, en particulier. Seule existe la transition, d’un monde à l’autre. En conséquence, ceux qui ont, dans ce monde, une existence liée en permanence à la sainteté, à la Torah et aux Mitsvot, perçoivent ce passage comme une élévation, un avancement, d’abord dans ce monde matériel et ensuite, à l’issue de quelques étapes, dans le monde futur.
Avec ma bénédiction,